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Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

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avril 26, 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Il y a cent ans : le génocide des Arméniens (24 avril 1915)

Trois régimes, entre la fin du XIXe siècle et le début des années 1920, ont œuvré à la destruction du peuple arménien : le sultanat ottoman, le gouvernement des Jeunes-Turcs et le pouvoir kémaliste. Mais c’est au cœur de la Première Guerre mondiale, en 1915, que débute véritablement le premier génocide du XXe siècle. Le point sur les publications de ces derniers jours consacrées au Génocide des Arméniens.
Morgenthau336
Cadavres d’Arméniens : photo prise par l’Église apostolique arménienne et transmise à Henry Morgenthau, 1915, près d’Ankara. Publiée en 1919 dans Mémoires de l’ambassadeur Morgenthau, l’ambassadeur américain écrit en légende : « Ceux qui sont tombés sur le chemin. Des scènes similaires étaient chose commune à travers toutes les provinces arméniennes, au printemps et à l’automne 1915. La mort dans toutes ses formes – massacres, famines, épuisement – détruisit la grande partie des réfugiés. La politique turque était l’extermination sous couvert de déportation. »
« Morgenthau336 » par Henry Morgenthau — Ambassador Morgenthau’s Story Doubleday, Page p314, (http://net.lib.byu.edu/estu/wwi/comment/morgenthau/images/Morgen50.jpg). Sous licence Domaine public via Wikimedia Commons – http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Morgenthau336.jpg#/media/File:Morgenthau336.jpg.
Le 24 avril 1915 marque le début du génocide avec l’arrestation de plusieurs centaines d’intellectuels, de notables et de dirigeants politiques arméniens à Constantinople et leur déportation et exécution dans des conditions absolument inouïes de terreur et de violence. Jusqu’à un million et demi de personnes ont alors péri, soit près des deux tiers des Arméniens vivant sur le territoire de la Turquie.

Les origines du génocide des Arméniens

Instruction of the Ministery of the Interior on april 24
La circulaire 3052 du 24 avril 1915 signée par le ministre de l’intérieur Talaat Pacha ordonne aux autorités militaires et aux administrations de l’ensemble de l’Empire ottoman d’arrêter les élites arméniennes locales. C’est l’acte fondateur du démarrage des massacres de masse et le 24 avril 1915 est très rapidement retenu comme date du début des opérations
« Instruction of the Ministery of the Interior on april 24 » par Mehmed Talat (1874–1921) — Ottoman Archives. Sous licence Domaine public via Wikimedia Commons – http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Instruction_of_the_Ministery_of_the_Interior_on_april_24.png#/media/File:Instruction_of_the_Ministery_of_the_Interior_on_april_24.png
La Vie des Idées a interrogé Vincent Duclert, historien qui enseigne à l’EHESS. Il vient de faire paraître, chez Fayard, La France face au génocide des Arméniens (2015).

V. D. : Il y a dans l’Empire ottoman – très clairement à partir de 1913, avec le coup d’État des Jeunes-Turcs autoritaires qui prennent le pouvoir – une volonté d’extermination des Arméniens ottomans. Plusieurs raisons expliquent cette volonté et, ensuite, cette planification, qui sera menée à son terme dans le cadre de la guerre, qui va aider à la réalisation de l’extermination.
Il y a d’abord des raisons idéologiques, puisque, dès la fin du XIXe siècle, les Arméniens deviennent l’ennemi intérieur : il y a un vocabulaire issu du darwinisme social désignant les Arméniens comme des « microbes », des éléments à rejeter, à détruire. Il y a aussi le fait que le peuplement arménien est concentré dans les vilayets (provinces) du centre de l’Anatolie. Or ce sont ces provinces que l’élément turc de l’Empire ottoman veut reprendre à son compte, pour régénérer l’Empire par la « turcification ». Il s’agit de mobiliser les forces turques pour transformer l’Empire en une forteresse turque, notamment contre les attaques des puissances européennes qui tentent de soumettre l’Empire ottoman à leur profit.
Il y a le fait que les Arméniens sont une population vulnérable, une population loyale, qui n’a pas de capacité de résistance à cette persécution sans fin qui commence au milieu du XIXe siècle. Il y a enfin, dans l’Empire ottoman, une sorte d’« acculturation » au processus d’extermination des Arméniens. Il faudra l’élément décisif, c’est-à-dire la volonté politique de mettre en œuvre une Organisation spéciale destinée à exterminer les Arméniens – soit sur les routes de la déportation, soit dans des camps de concentration – pour aboutir au premier génocide du XXe siècle.

(Source : 1915 : le génocide des Arméniens – La Vie des idées)

Ce que les puissances européennes et les autres savaient dès 1915

Un mois après ce qui est considéré comme le début du génocide, c’est-à-dire le 24 avril 1915,

les trois puissances de l’Entente – Russie, France, Angleterre – émettent une déclaration solennelle attestant du fait qu’un crime « contre l’humanité et contre la civilisation » (c’est la première fois qu’on emploie cette expression) est en cours dans l’Empire ottoman. Et, puisqu’il y a crime, les puissances de l’Entente annoncent qu’elles poursuivront en justice les responsables unionistes de ce crime contre l’humanité.
Il y a donc très clairement une connaissance par le monde et par les belligérants de ce qui se passe. Les Allemands, qui sont les alliés de l’Empire ottoman, connaissent très précisément l’ampleur de la déportation et les massacres qui se déroulent sur les routes de la déportation. Tous les observateurs présents de nations neutres, comme les États-Unis et la Suisse, ainsi que des diplomates et missionnaires allemands qui défient leur gouvernement, révèlent cette mise en œuvre de l’extermination, mais il n’y a pas d’objectif de guerre visant le génocide, le sauvetage des rescapés, par exemple. La France ne mène qu’une seule opération, celle du Musa Dagh, qui sera connue ensuite parce que le grand romancier allemand Franz Werfel en fera un roman, intitulé Les Quarante jours du Musa Dagh (1933).

(Source : 1915 : le génocide des Arméniens – La Vie des idées)

Qui reconnaît aujourd’hui le génocide des Arméniens ?

Une vingtaine de pays, dont la France et la Russie, reconnaissent aujourd’hui le génocide arménien (voir la liste exhaustive des pays et institutions internationales reconnaissant le génocide des Arméniens).
En Suisse, le Conseil national (contre l’avis du Conseil fédéral) a reconnu le génocide arménien en 2003, tout comme le Canton de Genève et le Grand Conseil vaudois ultérieurement.
Pour la première fois, à l’occasion des commémorations, l’Allemagne a reconnu le ‘génocide’ arménien par la voix de son président Joachim Gauck, lors d’une cérémonie religieuse à Berlin,100 ans jour pour jour après les massacres.

«Nous devons également, nous Allemands, faire notre travail de mémoire», a déclaré Joachim Gauck. Il a évoqué «une coresponsabilité, et même, potentiellement, une complicité (de l’Allemagne) dans le génocide des Arméniens».

(Source : Le président allemand reconnaît le génocide arménien – rts.ch – Monde)
Le mercredi 22 avril 2015, le parlement autrichien a également reconnu symboliquement le génocide. Le Parlement européen l’a fait en 1987 déjà et a encore appelé cette semaine la Turquie à le reconnaître. (Source : Centenaire du génocide arménien : C’est quoi un génocide? – Monde – tdg.ch)

L’attitude de la Turquie

Au début de cette année 2015, le gouvernement turc a envoyé des invitations annonçant que la Turquie célèbrerait avec un jour d’avance le centenaire de la grande bataille de Gallipoli, commémorée en Australie tous les 25 avril. Pour Hamit Bozarslan, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales à Paris et grand connaisseur de la Turquie.

«Faire coïncider ces deux dates ne doit évidemment rien au hasard. Pour le président Erdogan, célébrer Gallipoli le même jour que les commémorations du génocide arménien est une manière de vider ce dernier de son sens. Pour les Arméniens, c’est évidemment une insulte insupportable.»

Reste que, selon Hamit Bozarslan, la société turque d’aujourd’hui n’est pas monolithique dans le refus de reconnaître le génocide arménien :

«En fait, la population est divisée en trois groupes très inégaux à ce sujet. D’abord, il y a une petite minorité libérale et intellectuelle très courageuse qui reconnaît le génocide. Puis il y a une majorité de Turcs qui sait ce qui s’est passé mais ne veut pas en parler. Enfin, il y a l’establishment politique qui assume ce qui s’est passé, mais refuse de reconnaître le génocide: c’est le courant négationniste.»

(Source : 24 avril 1915: La bataille des Dardanelles occulte le génocide arménien – Monde – tdg.ch)

Pour aller plus loin : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide_arm%C3%A9nien

Classé sous :actualité, Presse

avril 19, 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les Républicains en désordre de bataille pour affronter Hillary Clinton | Slate

Les primaires américaines commencent. Face à Hillary Clinton, qui veut être la première femme présidente des Etats-Unis, une dizaine de Républicains. Des conservateurs, des libertariens, des latinos et des pro-Tea party…

Pour comprendre la droite américaine, on peut se rendre dans le New Hampshire. Le Kansas. Ou encore le Kentucky. Dans ce dernier État, on sillonne les routes des Appalaches, où les villages se succèdent, avant de rejoindre la «banlieue» de la ville incongrue de Hazard, son hypermarché WalMart et ses McDonalds. Entre-temps: une succession de maisons de retraite déshéritées, d’hôpitaux désaffectés, d’écoles désertées et surtout, la grande pauvreté.
C’est une pauvreté «blanche», celle des «white poors». Certains vivent dans des caravanes. D’autres dans des maisons déjà saisies par les banques. Certains ne se soignent plus. Des «sans-dents» n’ont pas eu l’argent pour un dentier et vous parlent édentés. Des retraités se meurent, désaffiliés. Et pourtant, mystérieusement, ces pauvres abandonnés de tous votent souvent à droite. Notamment pour le sénateur républicain Rand Paul, qui vient de se lancer dans la primaire pour la présidentielle de 2016.

Lire la suite et la présentation des principaux candidats Républicains : Les Républicains en désordre de bataille pour affronter Hillary Clinton | Slate.fr.

Classé sous :politis, Presse

avril 18, 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Depuis quand Charles Martel est-il un héros de l'histoire de France ? | L'Obs

Il n’y a pas qu’en Suisse que la droite identitaire instrumentalise, travestit et manipule l’histoire en fonction de son agenda politique. En France, la droite identitaire affirme que la bataille de Poitiers est « une page fondatrice de notre roman national. » Deux historiens, William Blanc et Christophe Naudin, montrent au contraire que la place réservée à l’événement n’a cesse de fluctuer en fonction des intérêts politiques.


Extraits. Vitrail de la cathédrale de Strasbourg (CC)Vitrail de la cathédrale de Strasbourg (CC) À lire aussi

«Les auteurs reviennent d’abord sur ce que l’on sait de la bataille de Poitiers. Ou, plus exactement, ce que l’on ne sait pas. Le lieu ? Il est si flou que les historiens anglo-saxons parlent de «The Battle of Tours». La date exacte? Selon les sources, elle varie de 731 à 734. Le but de l’expédition montée par les Arabes ? Le pillage plutôt que la conquête, semble-t-il. Quant au déroulement de la bataille, un chroniqueur de l’époque donne le chiffre fantaisiste de 365.000 Sarrasins tués…
Dans la deuxième partie, les deux historiens analysent les fluctuations de la place réservée à Charles Martel par la postérité. Un sujet très politique: car s’il n’était qu’un maire du Palais (un usurpateur en somme), c’était aussi le grand-père de Charlemagne. Comment se revendiquer de lui sans cautionner une atteinte à la légitimité royale ? Louis IX trouva la parade: faisant réaménager la basilique de Saint-Denis, il fit sculpter sur le tombeau de Charles Martel une couronne que celui-ci n’avait jamais portée dans la réalité.
Au XIXe siècle, c’est dans l’école que la bataille de mémoire se déplace. Avec, là aussi, des écarts spectaculaires. Héros de Chateaubriand et des manuels catholiques, Charles Martel s’efface progressivement sous la IIIe République. Dans le «Petit Lavisse», best-seller de l’école laïque (137.000 unités par an jusqu’en 1939), pas une ligne, pas un mot sur la bataille de Poitiers et le grand-père de Charlemagne. Bref, ce héros national a tous les airs d’un intermittent du spectacle. A de longues périodes d’oubli succèdent des retours très politiques.»

Lire la suite : Depuis quand Charles Martel est-il un héros de l’histoire de France ? – Bibliobs – L’Obs

Classé sous :lecture Balisé avec :France, histoire, idéologie

avril 9, 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La critique technologique à l'avant-garde du projet néo-libéral

Dans un article s’interrogeant sur la signification de la critique relative à la technologie, Evgeny Morozov, écrivain d’origine biélorusse, spécialiste des implications politiques et sociales du progrès technologique et du numérique et collaborateur à The New Republic, estime que la critique à l’encontre de la technologie s’est souvent révélée conservatrice. Elle est même à l’avant-garde du projet néo-libéral.
Cette critique se cristallise souvent sous la forme d’une technophobie, un rejet du progrès technique, des innovations, des évolutions et des révolutions que la technique introduit, qui peine à distinguer ce qui relève de la technique de ce qui relève de son ingénierie, de la manière dont elle est implémentée, mais aussi et surtout du système politique, social et économique qui la conduit. 
Morozov prend pour exemple le dernier livre de Nicholas Carr, qui avec La cage de verre (voir l’article d’InternetActu), prolonge son oeuvre critique des technologies. Dans ce dernier opus, Carr soutient que nous avons omis de tenir compte des coûts cachés de l’automatisation.

Mais l’automatisation permet-elle de comprendre les impacts des changements en cours ? Pas si simple, estime Morozov, notamment parce qu’il y a plusieurs formes d’automatisation. Celle qui permet aux voitures autonomes de rouler n’est pas la même que celle qui permet la reconnaissance faciale ou que celle de Shazam, le système qui permet de reconnaître n’importe quelle chanson. Dans la première, le conducteur devient inutile, pouvant certes inspirer un certain néo-luddisme. Dans la seconde, la technologie augmente les capacités humaines à reconnaître des visages. Dans la dernière, Shazam créer une nouvelle capacité puisque les humains ne savent pas reconnaître toutes les chansons qui existent. Qu’automatise-t-on dans ces derniers cas ? 

Plus fondamentalement, pour Morozov

la critique technologique remplace la critique politique et sociale. Les catégories analytiques habituelles (l’exploitation, les classes sociales…) sont abandonnées au profit de concepts flous et moins précis. Quand il critique les transactions financières à haute fréquence, Carr reste plus préoccupé de l’impact que ces algorithmes ont sur les marchés que de l’impact du marché sur chacun d’entre nous. L’automatisation érode les compétences et connaissances des professionnels de la finance, note-t-il, sans dire un mot du rôle de ces professionnels sur la marche du monde… 

Radicalement, il indique que 

“Aujourd’hui, il est évident pour moi que la critique de la technologie, si elle n’est pas couplée à un projet de transformation social radical, n’atteint pas son but”. Il est plus simple de discuter sans fin de notre dépendance excessive à nos téléphones et à leurs applications.

Dès lors,

“En reléguant les problèmes sociaux et politiques au seul niveau des individus (il n’y a pas de société, seulement des individus et leurs gadgets), la critique de la technologie est finalement à l’avant-garde théorique du projet néolibéral” que porte le système technique.

(Source : Technologie : avons-nous raison d’être critiques ? « InternetActu.net)

Classé sous :Opinions Balisé avec :néo-libéralisme, technologie

avril 9, 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ni la gauche ni le FN n'ont à se réjouir de la disgrâce de Le Pen | Slate.fr

Le vieux patriarche de l’extrême droite française a fourni à sa fille l’occasion inespérée d’une rupture, mais l’a aussi placée face aux contradictions idéologiques de sa formation. Quant à la gauche, elle risque de voir sa posture moraliste de condamnation du FN encore affaiblie.
Ni la gauche ni le FN n’ont à se réjouir de la disgrâce de Le Pen | Slate.fr:

Mine de rien, un Front national ayant clairement rompu avec Jean-Marie Le Pen n’est une bonne nouvelle pour pas grand monde. La gauche –ou ce qu’il en reste– va encore moins pouvoir agiter l’épouvantail du «fascisme» pour repousser les assauts électoraux des frontistes. Prétendre que Jean-Marie Le Pen «dit tout haut ce que le FN pense tout bas» deviendra de plus en plus absurde.
Un FN post-Jean-Marie expose, enfin et surtout, celui-ci à de réels périls. L’homme né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan) a eu le remarquable mérite de réussir à réunifier, en un même parti, toutes les tendances –o combien contradictoires– de l’extrême droite française. A cet égard, Le Pen fut à ce camp ce que Mitterrand a été au sien.
Sa fille saura-t-elle gérer la coexistence problématique des sensibilités éminemment diverses qui alimentent le «national-populisme» –à défaut d’expression meilleure– dont elle se veut le porte-drapeau? Cela ne sera, en toute hypothèse, pas simple. Le FN d’aujourd’hui est traversé d’influences contraires. L’orientation «nuisible», selon Jean-Marie Le Pen, de Florian Philippot est contrariée par les pesanteurs droitières qui sévissent dans le Front du sud de la France. Sur la question cruciale de l’euro, comme sur la politique économique et sociale, un FN «dédiabolisé» est promis à de vifs débats internes.

(Via www.slate.fr)

Classé sous :Presse Balisé avec :France, Front National

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*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

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