- La Suisse n’a pas réglé ses conflits d’intérêts – Domaine Public – Le siège du président de la Direction générale de la Banque nationale suisse (BNS) vacille. Impossible de dire si Philipp Hildebrand réussira à survivre à cette tempête politique. Mais l’affaire suscite matière à réflexion tant sur le cadre légal en place que sur les pratiques des plus hautes autorités du pays.
Cantonales vaudoises 2012 : Ticket socialiste désigné | Reportage photos
En ce samedi 7 janvier 2012, le Parti socialiste vaudois tenait son Congrès à Penthalaz. Les deux principaux points à l’ordre du jour étaient la désignation de ses candidats au Conseil d’Etat et l’adoption de son programme électoral. Reportage du côté de la délégation de la Riviera.
A l’ouverture du Congrès, les délégués de la Riviera prennent connaissance des amendements au programme déposés par les sections :
Richard Sendra, Taraneh Aminian (à gauche), Roland Piguet, Pascual Sendra, Martine Gagnebins, et Pierre Butty (à droite) au travail
Sylvie Winkler, Irina Gote, Olivier Gfeller (à gauche) et Jacqueline Pellet (à droite) en pleine discussion
Il appartient à Anne-Marie Bolinger, présidente de la section locale du Gros-de-Vaud, d’ouvrir le Congrès:
Anne-Marie Bolinger sous les yeux d’Arnaud Bouverat et Cesla Amarelle
Après que le Congrès ait avalisé la liste à trois socialistes et une Verte et leur présentation par leur section, les candidat-e-s au Conseil d’Etat donnent leur motivation et leur vision
Anne-Catherine Lyon ouvre le bal avec son phrasé inimitable. Chapeau bas Mme la Conseillère d’Etat pour vos dix ans pleins à la tête du Département de la formation et de la jeunesse !
Pierre-Yves Maillard poursuit combatif et concret comme à son habitude
Moment d’émotion pour Nuria Gorrite et un discours déjà de femme d’Etat
Conquise, la salle réserve une standing ovation aux trois candidat-e-s:
Une équipe est née…
La suite se poursuivra avec l’adoption du programme cantonal du PSV.
Geek attitude : Barack Obama photographe vintage
Après Twitter, Facebook, Google+, Linked in et même MySpace, Barack Obama (ou plutôt son équipe de campagne) a choisi Instagram comme nouvel espace de visibilité branchée. Avec 15 millions de membres, ce réseau social basée sur l’échange de photo ne pouvait qu’intéresser Barack Obama déjà engagé dans sa campagne de réélection de novembre 2012.
Voici la première photographie publiée par Barack Obama sur son compte de Instagram :
Sa date de publication n’a pas été choisie par hasard puisqu’elle a été prise et publié le jour du caucus républicain de l’Iowa.
Si la France a son hyperprésident, les USA ont leur geek président.
Source de l’info : Sur Instagram, Obama tente le cadre dynamique
Revue de presse (5 janvier 2012)
- Peuple et démocratie | La Vie des idées – La démocratie n’est pas le gouvernement du peuple par le peuple, mais un processus permanent de conquête de nouveaux droits. C’est ce que l’ouvrage de C. Colliot-Thélène souligne, montrant la tension qui traverse l’histoire de la démocratie, entre l’émancipation de l’individu et l’appartenance à un corps politique. Le compte.-rendu de l'ouvrage par La Vie des idées
Philipp Hildebrand, Christoph B., la BNS et nous
Alors que les regards sur la BNS sont détournés des enjeux de la politique monétaire pour se fixer sur une question de personne et de vendetta personnelle, l’USS nous rappelle que les enjeux actuels de la politique monétaire suisse sont bien plus larges et que c’est l’avenir de notre place industrielle qui se joue. Ne nous trompons pas d’enjeux.
L’Union syndicale suisse demande USS à la BNS de relever le taux plancher du franc par rapport à leuro de 1,20 à 1,40 francs. Le franc fort menace des « dizaines de milliers demplois » et risque de provoquer une « désindustrialisation » de la Suisse, relève l’USS dans sa conférence de presse annuelle jeudi à Berne.
via L’USS demande un taux plancher à 1,40 francs – tsr.ch – info – economie.
Cependant, cela ne saurait le cas échéant absoudre Philippe Hildebrand d’une faute politique à défaut d’être pénale. Ce n’est pas non plus parce que Christoph Blocher est persuadé d’être le seul à avoir toujours raison qu’il ne saurait être question d’évaluer les fautes de Philipp Hildebrand en fonction de leurs conséquences pour la crédibilité de la BNS et l’impact sur sa politique.
Finalement, c’est la politique monétaire de la BNS qui doit être l’objet de notre attention et des nécessaires débats à son sujet et non des conflits ou des vengeances personnelles. Or, aujourd’hui, les deux sont mêlés et c’est la confusion qui règne. La situation n’en est que plus dommageable. C’est bien cela qui discrédite la démarche de Christoph Blocher ainsi que ses atermoiements depuis plus d’une année sur la politique que devrait suivre la BNS.
Dans ce contexte, seuls l’USS et le Parti socialiste suisse ont été constants et crédibles en la matière. Il ne faudrait juste pas l’oublier…