Rüschlikon, le 22 novembre 1990: Un discours mémorable du dramaturge suisse à l’occasion de la remise du prix Gottlieb Duttweiler à Václav Havel. Trois semaines après son étonnant discours, Friedrich Dürrenmatt décédait. C’est un testament qu’il vaut la peine de relire que nous propose Domaine public.
«Si bien qu’à votre grotesque tragique, on peut comparer aussi le grotesque suisse: il s’agit d’une prison, assez différente évidemment de celles où l’on vous a jeté, cher Havel, une prison où les Suisses se sont réfugiés». Et le dramaturge d’enchaîner avec une vaste description déroutante de Suisses qui sont tous prisonniers, mais également tous gardiens, afin qu’ils se sentent tout de même libres. Lire la suite… >>
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