Alors ce jour-là…
Nous nous intéresserons véritablement au sort de travailleurs et de travailleuses qui sont obligé-e-s de recourir à l’aide sociale parce que leur salaire est insuffisant.
Nous nous soucierons également de la question de l’emploi et de la formation des jeunes qui finissent leur scolarité obligatoire sans perspective d’apprentissage.
Nous nous demanderons de quelle manière il convient d’aborder les vraies questions de sécurité que sont la sécurité alimentaire, l’avenir de nos rentes et de nos retraites, une médecine à une et non deux vitesses, les risques naturels et les questions du développement durable.
Nous développerons des structures d’accueil, scolaires et parascolaires adaptées à la situation réelle des familles de ce 21e siècle.
Nous arrêterons de développer une attitude schizophrène à l’égard des étrangers qui ont tant apportés au développement économique et culturel de notre pays et que certains traitent toujours sous l’angle d’une menace, voire comme nos ennemis.
Nous ferons tant et tant de choses que l’idéal d’une société meilleure pour nos enfants que pour nous-mêmes ne sera plus un objet de raillerie, mais de légitime fierté.
Puis j’ai fait un deuxième rêve : je n’étais pas le seul à faire le premier. De loin en loin, d’écho en écho, le rêve se répercutait, les gens s’en emparaient jusqu’à ce qu’il gronde et devienne tumulte emportant tout sur son passage…
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