Ce matin, les participants du Montreux Grand Prix avaient Gstaadt et Sarnen comme étape du jour.
Lors de mon petit passage, en tant que Président de la Taxe de séjour, au Marché couvert de Montreux, j’ai pu admirer notamment cette Alfa Roméo.
Festival Images 2012 : J-1
Dernière piqûre de rappel avant le début ce samedi 8 septembre du Festival Images à Vevey.
C’est aussi un retour à Cindy Sherman avec une interprétation basée, non plus sur un photomontage, mais sur l’image réellement fixée sur l’immeuble de la BCV à Vevey.
#USA 2012 : Michelle Obama, les secrets d'un discours, la puissance d'une histoire
Lors de l’ouverture de la convention démocrate, Michelle Obama a su connecter vie personnelle et politique comme seul Bill Clinton savait le faire.
La vidéo intégrale de sa prestation :
Impressionnante prestation, même si on aperçoit le prompteur…
Lire l’analyse : Convention démocrate. Michelle Obama, les secrets d’un discours, la puissance d’une histoire | USA 2012 | Slate.fr.
Festival Images 2012 : J-4
Même les cygnes se pressent pour assister à l’ouverture de l’édition 2012 du Festival Images !
Temple of Heaven, 2010 : Photographie (620 m2) de Liu Bolin sur le château de l’Aile en réfection.
#USA2012 : Clint Eastwood le libertarien | Romain Huret
Romain Huret nous propose une intéressante relecture de l’intervention de Clint Eastwood à la Convention républicaine en s’appuyant sur l’oeuvre du cinéaste.
«Dans une scène célèbre du film Les Pleins pouvoirs (1996), un voleur, joué par Clint Eastwood, est assis dans une chaise et observe le meurtre commis par le président des Etats-Unis en personne. Impuissant, caché par une vitre sans teint, il est contraint de regarder la violence inouïe qui se déroule sous ses yeux. Pire encore, il subit avec écœurement les agissements ultérieurs des cyniques conseillers du président pour dissimuler le crime. Le cinéphile averti y a vu un clin d’œil au célèbre personnage de Fenêtre sur cour (1954) d’Alfred Hitchcock, et les critiques, notamment en France, ont apprécié cette scène assez jubilatoire jouant une fois de plus avec la déconstruction du mythe de l’homme viril, qui faisait jadis la loi dans l’Ouest. Mais l’explication est sans doute ailleurs : le symbolisme de la scène renvoie au dégoût profond de l’Etat, à la haine de l’administration et à une relecture nostalgique et mythique de l’histoire des Etats-Unis. Sans surprise, dans le sketch plus ou moins réussi qu’il a joué lors de la convention républicaine, Eastwood a repris la métaphore de la chaise pour mettre en scène les liens entre les citoyens et le gouvernement fédéral. Eastwood est un libertarien, et il ne s’en cache pas.»
Lire la suite : Romain Huret: Clint Eastwood le libertarien.