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politis.ch

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

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juin 19, 2008 by Lyonel Kaufmann 3 commentaires

L'enseignement de la Shoah oublie Sarkozy

Source: L’Expresso du 19 Juin 2008: « L’enseignement de la Shoah oublie Sarkozy »
La mission Waysbord-Loing sur l’enseignement de la Shoah au CM2 a remis le 18 juin son rapport au ministre de l’éducation nationale. Cette mission avait était mise en place suite à la polémique déclenchée par la volonté de Nicolas Sarkozy, président de la République française, d’associer un enfant mort à tout écolier.: »(voir notre article Chaque écolier devra connaître une victime de la Shoah) »:.
 
Cette commission estime maintenant que

«la thématique des enfants victimes a été d’emblée retenue comme une approche particulièrement adaptée aux élèves de CM2. Elle leur permet par le biais de récits et de figures particulières de s’initier à un passé qui a déterminé l’organisation présente du monde.» 

Mais les enseignants devront veiller à ne pas traumatiser les enfants. Aussi insiste-t-elle sur

«le conseil donné d’élargir le travail mené en classe, aux enfants cachés et sauvés pour éviter aussi une vision trop simplifiée de la réalité… C’est donc avant tout l’itinéraire des enfants avant leur déportation qui est évoqué. Les enfants sauvés et les Justes sont associés.» 

La circulaire (à paraître) reprend imparfaitement ces orientations (entre autre sur l’appel à la vie) mais garantit la liberté des enseignants.

«Pour aborder cet enseignement, les maîtres sont libres de leurs choix pédagogiques et plusieurs approches, souvent complémentaires, sont possibles. La thématique des enfants victimes est cependant une entrée à privilégier au CM2 : partir d’un nom, d’un visage, d’un itinéraire, de l’exemple singulier d’une famille dont l’histoire est liée aux lieux proches – l’école, la commune, le département – constitue une approche pédagogique respectueuse de la sensibilité des enfants. À partir d’un exemple, les élèves appréhenderont la déshumanisation systématique des victimes jusqu’à l’extermination : la discrimination, les arrestations, les camps d’internement, les convois, puis les camps d’extermination. À partir des exemples des maisons d’enfants, des enfants cachés, des justes, ils approcheront aussi les notions de solidarité et de valeurs universelles.»

Un livret pédagogique diffusé auprès des enseignants de CM2 ainsi qu’un site Internet sont annoncés par la circulaire.
Ainsi, face à la réprobation quasi unanime suscitée par la proposition sarkozienne, le repli des positions «présidentielles» a été réalisé en deux temps. D’abord une première atténuation via la mission Waysbord-Loing, puis via les directives d’orientation de l’Education nationale. Il n’en demeure pas moins que cela ressemble fortement à une défaite en rase campagne pour le président de la République. On est loin aussi du panache d’un autre 18 juin…

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juin 14, 2008 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Quelle police pour les Vaudois-e-s?

Article paru préalablement le 10 juin 2008 dans Domaine Public (n° 1783 – Permalien).
Cet article fait le point sur la négociation canton – communes, entre initiative d’Artagnan et motion Aubert.
Après treize ans d’un processus de réflexion amorcé en 1993, le projet de réforme des polices vaudoises, intitulé Police 2000, fut enterré en septembre 2007 par une commission du Grand Conseil. Depuis janvier 2007, deux conceptions et orientations s’affrontent sur le terrain politique:
  • Début 2007, les gendarmes lancent une initiative populaire dite Initiative d’Artagnan qui aboutira et qui, formulée en termes généraux, demande l’unification des polices municipales et cantonale.
  • A fin janvier 2007, le Grand Conseil vaudois accepte et transmet au Conseil d’Etat la motion de la socialiste Josiane Aubert, appuyée par 10 autres députés tous partis confondus, demandant une police coordonnée, avec à terme une harmonisation des commandements, une unification des statuts et le maintien des compétences policières des autorités des agglomérations et des grandes communes.

Jusqu’à récemment, le bras de fer semblait programmé entre le canton et les communes puisque le Conseil d’Etat ne comptait pas opposer de contre-projet direct à l’Initiative d’Artagnan. Cependant, début mai 2008, à l’initiative de Philippe Leuba et de Jacqueline de Quattro, le Conseil d’Etat entrouvrait la fenêtre des négociations et une sortie par le haut en proposant que le premier thème abordé par la nouvelle plate-forme de discussion canton-communes soit celui de l’organisation policière cantonale. En cas de protocole d’accord entre les cantons et les communes, celui-ci servirait d’une part de réponse à la motion Aubert et, d’autre part, de contre-projet indirect à l’initiative des gendarmes.
Quelles sont maintenant les chances de parvenir dans un délai extrêmement bref — la fin de l’été 2008 — à un protocole d’accord? Et pour quels enjeux?
D’une part, le Conseil d’Etat tient à un commandement unique ou unifié de la police vaudoise. Celui-ci existe de facto, mais il lui manque les outils d’une véritable concertation entre les différentes organisations policières du canton. L’exemple de l’Eurofoot et de son état-major de coordination regroupant des représentants de la police cantonale et des polices municipales pourrait être institutionnalisé en guise de réponse à ce souci légitime du Conseil d’Etat. Bien entendu un tel état-major serait placé sous la direction du commandant de la police cantonale.
D’autre part, les communes tiennent à pouvoir exercer leurs prérogatives en terme de sécurité découlant de la Constitution vaudoise. Pour ce faire, il est indispensable que l’état-major opérationnel soit subordonné à un état-major politique composé de représentants cantonaux et communaux. Par ailleurs les autorités communales doivent conserver leurs prérogatives d’engagement relevant de la police de proximité (police urbaine). En effet, il est indispensable d’éviter l’éviction des responsables communaux par la police cantonale et l’aspiration systématique des forces policières en faveur des tâches cantonales. Si cette évolution permettrait de suppléer le manque d’effectifs de la gendarmerie, elle se ferait au détriment des tâches de police de proximité, comme cela a été vécu dans les zones pilotes urbaines du processus de Police 2000.
Mais le maintien de corps de polices municipaux ou régionaux, sous le contrôle direct des autorités communales, nécessite qu’ils soient de taille suffisante pour assurer un service 24h/24h à la population et qu’ils fournissent des prestations identiques aux citoyens pour éviter que ces derniers soit ballottés d’un corps de police à l’autre. Or, aujourd’hui, les corps municipaux sont colloqués dans cinq catégories différentes d’autorisation d’exercer. Une harmonisation de ces autorisations va donc de pair avec la réforme ainsi que le regroupement le cas échéant des corps de police municipaux à l’instar de ce qui s’est passé sur la Riviera vaudoise et dans l’Ouest lausannois. Au final, les autorités communales auraient le choix entre disposer d’une police de proximité en mesure d’assurer du 24h/24h, passer par une association de communes ou passer un contrat de prestation soit avec une commune voisine, soit avec la police cantonale. Au terme de ce processus, toutes les communes vaudoises devraient assurer les prestations d’une police de proximité, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Actuellement, les négociations canton – communes semblent se dérouler de manière positive. Le fait que le politique ait repris clairement la main est également un point positif. Il devrait permettre des avancées concernant les questions du commandement unifié et du maintien dans une forme renouvelée des corps de police municipaux ou régionaux, basés sur des prestations 24h/24h et l’harmonisation des autorisations d’exercer. Ce dernier aspect aurait aussi le mérite de régler la question du financement qui reposerait dorénavant sur chaque commune selon le choix effectué. Par contre, il apparaît peu probable qu’un accord sur le statut unifié des policiers et la caisse de pensions puisse être trouvé d’ici l’échéance de fin août. Et reste la question du manque d’effectifs de la gendarmerie cantonale, l’une des principales raisons du malaise qui a conduit les gendarmes à déposer leur initiative.
_____
La Réforme policière vue par le canton
La police de proximité vue par la Conférence des Directeur des polices municipales vaudoises (CDPMV)

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juin 8, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Elle s'en va

So today, I am standing with Senator Obama to say: Yes we can.
Hillary Clinton   

Depuis mardi passé, il était clair qu’Hillary Clinton aurait à s’effacer au profit de Barack Obama. Depuis mardi, ce retrait a été effectué par étapes jusqu’à ce discours prononcé au National Building Museum de Washington devant  10’000 supporters:


Le texte intégral de son discours est disponible ici.
Dans le prolongement de ce discours, Barack Obama a indiqué, samedi 7 juin, qu’il avait hâte de faire campagne aux côtés de Hillary Clinton qui représente une valeur « inestimable » pour gagner l’élection présidentielle en novembre.« La sénatrice Clinton sera d’une valeur inestimable pour nous aider à gagner en novembre et j’ai hâte de faire campagne à ses côtés pour apporter au pays les changements dont il a éperdument besoin », a dit M. Obama dans un email adressé à ses partisans. (Source: Le Monde)
Par ailleurs et généralement, le mode de scrutin par grands électeurs incite les candidats à l’élection présidentielle américaine à concentrer leur force et leur campagne sur les swing states, c’est-à-dire ces états susceptibles de basculer d’un côté comme de l’autre sur le candidat démocrate ou républicain. En effet, un fois un Etat gagné, c’est l’ensemble des grands électeurs de cet état qui reviennent au candidat arrivé en tête (à l’exception toutefois du Maine et du Nebraska). C’est, sans surprise le choix effectué par l’équipe de campagne de John McCain et, dans la vidéo suivante,  Rick Davis, directeur de campagne, présente les axes de cette campagne en mettant en avant un parti républicain affaibli comme jamais et un candidat McCain qui bénéficie en revanche d’une image très bonne auprès des Américains: 


 
Or, de son côté et à nouveau, Barack Obama semble vouloir innover en la matière et il aurait déjà établi une stratégie électorale qui inclut une forte présence dans des états dits «rouges». Suite à la forte mobilisation – historique – lors de la campagne des primaires, Barack Obama cherche à transformer la machine des primaires en machine électorale présidentielle et compte rallier dans le camp démocrate des états traditionnellement républicains. Ainsi ses premiers déplacements seront dans des états comme la Caroline du Nord, un état qui a voté «rouge» depuis plus de 32 ans, le Missouri ou la Virginie, ce dernier état ayant été «rouge» depuis 44 ans (Source: Les états mauves et la stratégie d’Obama). Certainement aussi que sa formidable mécanique à lever des fonds pour la campagne explique également le choix de cette stratégie.
Assisterait-on à la traduction en politique et à l’élection présidentielle américaine du concept de «guerre totale»? Jusqu’à cette élection de 2008, une telle stratégie relevait de l’utopie en raison des moyens financiers et humains colossaux nécessaires pour mener une telle campagne. La campagne des primaires démocrates et l’arrivée à maturité de l’utilisation des moyens issus de l’Internet ont peut-être changé ces règles du jeux. Ainsi, dans ces primaires, les Démocrates ont réussi, pour la première fois à lever plus de fonds et à réunir plus d’électeurs que les Républicains. Dans tous les cas de figure, la stratégie de Barack Obama correspondrait alors à:

  • changer les règles du jeux et définir ses règles du jeu;
  • placer John McCain sur la défensive;
  • l’étrangler financièrement;
  • déplacer, voire dépasser, les frontières républicain/démocrate.
Ces prochains jours, un premier élément à suivre résidera dans l’impact du discours de retrait d’Hillary Clinton dans les mesures d’opinion. 3 à 4% de plus dans les intentions de vote pour Barack Obama serait des plus encourageants pour le camp démocrate. A moins l’élection présidentielle de novembre sera très difficile à gagner pour Barack Obama. A suivre donc…

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juin 1, 2008 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Quel beau dimanche de votations!

C’est pas tous les dimanches de votation que, pour un militant de gauche, les résultats sont aussi éclatants et satisfaisants. Reprenons le fil de la dégelée prise par l’extrême UDC. 
Tout d’abord au niveau national:

  • non à l’initiative UDC sur les naturalisations par les urnes à près de 64%;
  • non à l’initiative «souveraineté du peuple sans propagande gouvernementale» dit initiative muselière à 75,2%;
  •  non au contre-projet du Parlement à l’initiative de l’UDC sur les primes de l’assurance maladie à près de 70%. C’est aussi un non très clair aux volontés de certains milieux économiques et des caisses-maladies en premier lieu d’instaurer une médecine à deux vitesses et de transférer de l’Etat aux caisses le système de santé.
Mais pas seulement:
  • Election à la municipalité et au premier tour en ville de Zurich de Ruth Genner (Les Verts) qui succède à la Verte Monika Stocker. Cette dernière avait démissionné suite aux critiques répétées de l’UDC concernant sa gestion de l’aide sociale. La nouvelle élue a obtenu 48’895 voix, contre 23’276 pour Mauro Tuena, de l’UDC. Quelle claque pour le premier parti de la ville qui reste scotché à un représentant au sein de l’exécutif de la ville!
  • Votations à Fribourg: oui aux naturalisations par les exécutifs. Dans le canton de Fribourg, les citoyens ont rejeté le référendum de l’UDC qui s’opposait au transfert de l’octroi du droit cité communal des législatifs aux exécutifs. Ils ont voté la révision par 40’478 voix contre 27’464, ou 59,58% des suffrages.
Par ailleurs, la volonté de l’UDC de s’emparer du thème de l’école, via Harmos, à son profit paraît également mal emmanchée. En effet, un sondage paru dans le « Sonntagsblick » et le journal tessinois « Il Caffè » indique que, si 56% des personnes interrogées souhaitent limiter à un tiers le nombre d’élèves étrangers par classe, 59% des sondés  refusent d’obliger les enfants ne maîtrisant pas la langue locale à suivre une année d’enseignement de langue – une solution soutenue par 36% des sondés. De même, autre affront aux velléités scolaire de l’UDC, 63% des sondés souhaitent que les écoles offrent des structures d’accueil pédagogique à même d’encadrer du matin au soir les enfants de parents qui travaillent. A noter aussi, que 60% des sondés s’opposent au libre-choix de l’école.
De son côté, nouvelle défaite à terme de l’UDC, celle-ci a exclu sa section grisonne. En effet, jouant sur le calendrier et espérant à la fois triompher dans les urnes nationales et dans ses urnes internes, son choix de ce dimanche d’exclure la section grisonne ne peut retentir que comme un aveu indirect de faiblesse au même moment où celle qui pourrait être sa conseillère fédérale gagne son premier scrutin national! L’arroseur arrosé et effet boomerang garantit. De plus, ne se privant de ses «modérés», l’UDC ne pourra que s’enfoncer dans sa maladie de la persécution et sombrer définitivement dans la paranoïa. 
Avec ces résultats, j’espère que la fascination pour le regard hypnotique et nauséabond du serpent cessera du côté des partis de droite et de la presse. Pour cette dernière, la cure sera certainement longue, mais salutaire. Ainsi, ce dimanche, j’étais encore surpris de sa déontologie lorsque dans l’après-midi —suite au oui fribourgeois aux naturalisations par les exécutifs— la TSR donnait uniquement la parole à la représentante de l’UDC fribourgeoise!

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mai 15, 2008 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Devenir du Festival du Jeu

Depuis juillet dernier, je vous ai régulièrement tenu au courant des aléas relatifs à l’organisation d’une nouvelle édition du Festival du Jeu après les édition de 2004 et de 2006. Vous avez eu droit aux articles suivants:

  • Quel Festival du Jeu en 2008? (13 juillet 2007)
  • Pas de Festival du Jeu en 2008 (Revue de Presse) (20.03.2008)
  • Privés de Festival du jeu, ils mijotent autre chose (24Heures) (10.04.2008)
Lors du dernier billet, le journal 24Heures répercutaient les axes suivants pour la suite: 
«A La Tour-de-Peilz, on planche sur l’événement destiné à remplacer le Festival du jeu en 2009. «Le Musée suisse du jeu n’est pas en mesure de reprendre seul et sous cette forme l’organisation d’une telle mani festation. Or il y a des envies et des attentes à La Tour-de-Peilz pour une sorte de fête au vil lage », constate Lyonel Kaufmann. L’édile évoque une solution en deux parties: les Boélands pourraient être conviés à une fête du jeu, ainsi qu’à une autre manifestation réunissant les sociétés locales. Si l’avenir s’annonce encore flou, une cer titude s’impose aujourd’hui: la future manifestation populaire n’aura pas lieu avant 2009.»
A l’occasion du dernier conseil communal, la Communication municipale No 6/2008 a permis de confirmer et de préciser les intentions de la Municipalité. La teneur en est la suivante:

Les médias s’en sont fait l’écho, il n’y aura pas de Festival du jeu en 2008. Le départ des chevilles ouvrières de la manifestation, les perspectives financières incertaines et les problèmes liés au positionnement du festival ont rendu impossible la mise sur pied d’une nouvelle édition cette année encore. 
Dans le cadre de l’Association du festival du jeu, organisatrice de la manifestation, des échanges ont eu lieu quant à la pérennité de l’organisation, sous une forme ou une autre. La Municipalité ainsi que le Musée suisse du jeu ont été associés à la discussion. 
Après plusieurs mois de réflexion, il apparaît que la mise sur pied d’un festival du jeu comme on l’a connu en 2004 et 2006 n’est pas envisageable pour des raisons humaines, financières et d’organisation. Par contre, il existe un intérêt réel pour qu’une manifestation dédiée au jeu, mais redimensionnée, soit mise sur pied par le Musée suisse du jeu, de même qu’il existe une forte demande de la part des sociétés locales pour qu’une fête de type « Fête des fous » soit mise sur pied en ville de La Tour-de-Peilz. 
Face à ces constats, la Municipalité a pris les décisions suivantes : 
• confier au Musée suisse du jeu l’organisation d’une manifestation dédiée au jeu moyennant l’octroi de tout ou partie de l’aide financière attribuée jusque là au Festival; 
• étudier avec les sociétés locales la mise sur pied d’une fête à La Tour-de-Peilz, découplée du Festival, et qui se tiendrait sur le site du Bourg et du Port. 
La première édition de l’une ou l’autre de ces manifestations devrait avoir lieu en 2009. 

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*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

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