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politis.ch

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

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juillet 18, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Les séries de l'été de politis.ch

C’est la pause estivale. Enfin, pas tant que cela lorsque je regarde le temps. Toujours est-il que le rythme ralentit et que c’est le temps des séries de l’été et de l’information un peu en creux. Pour politis.ch, c’est aussi le temps des vacances et des parutions irrégulières.
Cependant vous ne savez pas trop que faire? Quelques propositions de série de l’été.
 
– si vous aimez le sport, c’est le temps du Tour de France et donc des affaires de dopage. Ca tombe bien, elles font la une de l’actualité depuis quelques jours. Jusqu’à hier, c’était du menu fretin. Avec Riccardo Ricco, c’est plus sérieux, mais c’est toujours avec de la bonne vieille EPO, une nouvelle variante certes, mais faut pas charrier non plus. Sûr que les Cadel Evans, CSC, Denis Menchov fonctionnent au plus perfectionné, à l’indécelable. On ne prête qu’aux riches* dont ne faisaient pas partie les Saunier-Duval. Mais sait-on jamais. 
 
*Preuve en est d’ailleurs que le cyclisme est un sport de pauvres. Ainsi Christophe Brissonneau, sociologue, vient de remettre un rapport au Parlement européen sur le dopage dans le sport professionnel et indique au journal Le Monde qu’« «Il vaut mieux être footballeur dans un ancien pays de l’Europe de l’Est que cycliste en France».
 
– si votre conscience écologique vous interpelle, il vous est également possible d’allier amour du sport propre et écologie en suivant l‘AlterTour de la Biodiversité Cultivée pour unePlanète Non-dopée.
– si vous aimez l’armée suisse, Samuel Schmid vous fera, à coup sûr, tordre de rire cette année. Après les tristes affiches de moutons noirs, c’est une farce tragi-comique qui nous est servie cet été par la droite nationaliste suisse. Même l’ancien parti de Samuel Schmid reste sans voix. Si seulement ces histoires étaient arrivées avant pour pouvoir le virer, mais il est déjà parti… presque à l’insu de son plein gré.
 
– si vous aimez les médias, vous n’aimez pas Le Matin et vous avez bien raison. Vous vous doutiez de son intérêt, de sa pente naturelle à faire le lit de l’UDC, du populisme et du racisme. Là aussi, vous aviez raison: Le Matin : un hôpital qui se fout de la charité !).
Et si demain Google proposait d’héberger les rédactions de tous les journaux sur ses propres plates-formes, comme il le fait déjà avec ses blogs ? Et gratuitement en plus. Rien de plus simple. Certains y pensent déjà chez Google et le font savoir… sur le blog de Jeff Jarvis ! C’est une bombe relatée par Novövision (Google est le seul avenir du journalisme).
 
– si vous aimez l’histoire, la crise des subprimes et plus largement de l’économie mondiale rappelle à votre souvenir la crise des années 30 et l’après-Krach de Wall Street. En 1929-1930 également on vous assurait que cela n’était qu’une crise financière, mais que l’économie réelle allait bien. De toute façon, les monétaristes à la Milton Friedman disposaient depuis lors des outils pour éviter ce genre de catastrophe. John Kenneth Galbraith n’était qu’un vieux ringard, vous pensez donc. 
On rigole un peu moins depuis que les organismes de refinancement hypothécaire Freddie Mac et Fannie Mae ont connu une déroute boursière devant une montée des inquiétudes des marchés sur leur capacité à faire face à leurs engagements. Triste ironie du sort pour Fannie Mae qui est un organisme créé en 1938 par l’administration Roosevelt dans le cadre du New Deal pour permettre l’accession à la propriété de gens relativement modestes.
Sur le sujet, vous ne manquerez pas de lecture:
– après avoir jeté tous vos livres de Milton Friedman, relisez d’abord John Kenneth Galbraith (1908-2006) et son ouvrage de 1954La Crise économique de 1929. Anatomie d’une catastrophe financière;
– complétez avec les articles de la revue Alternatives Economiques consacrés à Keynes (Keynes, toujours actuel);
– relisez mon billet Crise, panique boum d’août 2007;
– prolongez avec les articles du blog OuVertures.info sous la rubrique économie ou subprime;
– consolidez avec quelques aspects pratiques et un choix d’autres lectures proposés par l’article Crise des Subprimes de Wikipedia;
– terminez par cet article de mars 2008 qui montre le tournant de la pensée lorsque «soudain» aux Etats-Unis le vocabulaire et la psychologie de l’époque de la Grand Dépression a commencé à se répandre et où le comportement de Georges W. Bush et de son administration se sont rapprochés de celui du président Hoover et de l’administration d’alors dans un aveuglement et une paralysie de la pensée, issus de la théologie du marché. La pensé paralysée (dedefensa.org).
 
– si vous aimez la lecture, peut-être que les ouvrages que j’emporte sur les plages vous inspireront… ou pas:
imgres.jpg Olivier Meuwly (2007) Les penseurs politiques suisses du 19e siècle. Les combats d’idées à l’origine de la Suisse moderne. Lausanne: Le savoir suisse 
Ou la pensée politique suisse du 19e siècle, vu au travers d’un (dernier?) historien radical.
 
imgres.jpg Michael Collins (2007) La vie secrète de E. Robert Pendleton. Paris: Points-Seuil 
Après le suicide bâclé du professeur Pendleton, écrivain raté sur le point de perdre sa chaire de Creative Writing, Adi, l’une de ses étudiantes rongée par la culpabilité, s’installe chez lui pour jouer les gardes-malades. Elle découvre dans la cave un livre écrit par Pendleton des années auparavant. Immédiatement elle perçoit dans Le Cri un chef d’œuvre où « Nietzsche rencontre Charles Manson ». Adi s’associe avec l’ennemi intime de Pendleton pour le faire republier. Le succès est immédiat. Un seul détail la trouble : l’effroyable meurtre d’une adolescente relaté dans Le Cri ressemble étrangement à un crime jamais élucidé, qui eut lieu dans la région quelques années plus tôt… Simple coïncidence ? Ou bien Pendleton aurait-il quelque lien trouble avec ce macabre fait divers ?
 
 Elsa Osorio (2007) Tango. Paris: Points-Seuil 
Au Latina, un café parisien, Luis invite Ana à danser un tango. Passionnés parla danse argentine, ces deux inconnus découvrent qu’ils ont en commun une histoire. Leurs aïeux croisaient déjà leurs pas au rythme du tango, dans le Buenos Aires du début du XXe siècle, avant les dictatures, quand l’Argentine était encore la terre promise d’innombrables immigrants.
 
imgres.jpg Jay McInerney (2007) La belle vie. Paris: Points-Seuil 
Ils avaient trente ans et des poussières. Le monde leur appartenait. Ils étaient, disait-on, le plus beau couple de New York. C’était en 1987. Quatorze ans plus tard, Corrine et Russell Calloway ont deux enfants et vivent dans un loft, à TriBeCa. Ce soir-là, ils ont invité des amis à dîner. Nous sommes le 10 septembre 2001. Dans quelques heures, le monde va basculer dans l’horreur. Ce livre n’est pas le roman du 11-Septembre. Il nous parle de ce qui se passe après, quand l’onde de choc de l’attentat du World Trade Center vient percuter des millions d’existences. Une étrange atmosphère se répand, mélange de chaos et de responsabilité collective, d’angoisse et d’euphorie. L’impossible est devenu possible. Désormais, tout peut arriver. 
 
Sara Paretsky (2007) Chicago, banlieue sud. Paris: Points-Policiers 
Lorsqu’on demande à la détective privée V.I. Warshawski d’aller fouiner du côté de Fly the Flag, atelier de confection de drapeaux, elle ne s’attend sûrement pas à le voir flamber. Surtout avec un mort en prime, le patron Frank Zamar. Accident ? Incendie criminel ? Warshawski poursuit l’enquête, en plein sud de Chicago, banlieue misérable, où la violence et les gangs règnent en maîtres.  

Il me reste à vous souhaiter un bel été. A bientôt.

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juillet 17, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

La Tour-de-Peilz – Fête de la musique (21 juin)


Je profite d’une certaine accalmie estivale pour revenir sur la Fête de la musique (21 juin 2008) et combler mon absence de réactivité à ce moment-là.
Ainsi pour la première fois, la Fête de la musique se déroulait en commun sur les communes de Vevey et de La Tour-de-Peilz. Depuis 2008, la manifestation est prise en charge par l’Association Ville en musique qui regroupe différentes associations culturelles de la ville de Vevey. Cette association s’est approchée de la commune de La Tour-de-Peilz, et donc du municipal de la culture, pour entreprendre une collaboration. L’objectif était d’installer la grande scène au Parc Roussy. 
La manifestation a été rendue possible sur la commune de La Tour-de-Peilz grâce au soutien financier de la commission culturelle de La Tour-de-Peilz et du service d’Animation sport et jeunesse. Au sein de l’Association, Sylvain Béné, Animation Sport et Jeunesse, a été la cheville ouvrière pour la coordination avec la commune et les organisateurs. 
Mis à part le Parc Roussy, la cour du Château et le Temple de La Tour-de-Peilz (orgue) ont également servi de scènes pour des concerts.

Le cadre offert par le Parc Roussy n’était pas sans rappeler des souvenirs aux festivaliers du festival de Nyon lorsque celui-ci prenait ses quartiers au bord du lac! 
Quelques photos des concerts du Parc Roussy (Diaporama):

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juillet 3, 2008 by Lyonel Kaufmann 3 commentaires

Avis de gros temps pour Jacqueline de Quattro

Depuis vendredi dernier, le baromètre politique de Jacqueline de Quattro est positionné sur « avis de tempête ». Décodage.

Chronologie des faits:

• Le vendredi 27 juin, le journal Le Temps publie un interview réalisé avec Mme de Quattro qui arrive au terme de sa première année de mandat au Conseil d’Etat vaudois. Dans cet interview, elle y avoue

son étonnement. Les lenteurs de l’administration et des processus politiques mettent cette impatiente déclarée à l’épreuve. Les dossiers évoluent trop lentement à son goût. Elle ne le dit pas ouvertement, mais l’autre surprise vient du positionnement politique du gouvernement vaudois. On le prédisait plus à droite que le précédent avec l’arrivée du libéral Philippe Leuba et de Jacqueline de Quattro. C’était oublier le centrisme affirmé du président du Conseil d’Etat, le radical Pascal Broulis, qui, en pivot du gouvernement, fait et défait les majorités. 

• Samedi 28 juin 2008
Ses états d’âmes provoquent une première secousse sismique chez ses deux collègues de droite Philippe Leuba et Pascal Broulis. On apprend dans le journal 24Heures du lendemain (samedi 28 juin) que Jacqueline de Quattro « chiffonne Pascal Broulis ». Et c’est Philippe Leuba, grand adversaire de Pascal Broulis lorsqu’il était député au Grand Conseil qui envoie la volée de bois vert à sa coreligionnaire prouvant un passage réussi de la position d’arbitre de football à celle d’un tennisman adepte du service/volée:

Philippe Leuba ne partage pas davantage le point de vue selon lequel le prési dent du collège aurait «un poids prépondérant»: «Pascal Broulis défend ses positions comme la plupart des conseillers d’Etat les défendent, témoigne-t-il. Il ne gagne pas plus souvent qu’un autre. S’il a un rôle un peu différent, ce n’est pas dû à son statut de président, mais à sa qualité de chef du Département des finances qui implique une fonction très transversale. Pascal Broulis ne domine pas, il facilite le fonctionnement du Conseil d’Etat. Il a cette faculté de mettre de l’huile dans les rouages, d’éviter que les fronts ne se crispent trop facilement.» 

De quoi rêver, non? Sauf évidemment que le retour sur terre (battue?) est quelque peu brutal pour Madame la Conseillère d’Etat. Si cette dernière escomptait le soutien de la droite du Conseil d’Etat, c’est râté. D’autant que Jean-Claude Mermoud reste lui muet comme une carpe. Prise les pieds dans le tatami, elle essaie de corriger le tir dans 24Heures:

Je dis juste que c’est un gouvernement bien équilibré et que les majorités ne sont pas automatiquement de droite. Il m’arrive par exemple de voter pour un projet défendu par Pierre- Yves Maillard et je l’assume parfaitement.»

Mais comme Raphaël Nadal, Philippe Leuba ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle qu’il confirme son break d’avance:

Philippe Leuba, lui, trouve que la balance penche du bon côté: «Dans le domaine de la fiscalité par exemple, c’est clairement une politique de droite qui est mise en place par le gouvernement.» 

Ce en quoi, j’ai de la peine à lui donner tort… Pascal Broulis lui peut dormir tranquille, il n’a pas eu besoin de monter au filet, ni même sur le court. 

Tout le monde part ensuite en week-end. Ràs le lundi. Les météorologues prévoient alors un temps légèrement couvert avec quelques éclaircies pour les jours suivants. Mais patatras, de la station de Cointrin, ce n’est pas seulement un avis de gros temps, mais une perturbation qui met le nez à la fenêtre lorsque Le Courrier de Genève, La Liberté et Le Régional agitent conjointement un falot tempête en lançant

un nouveau pavé dans la mare du microcosme politique vaudois. Conseillère d’Etat et avocate, Jacqueline de Quattro a fait annuler deux amendes de stationnement qu’elle a reçues à Clarens dans le courant de l’année, alors qu’elle passait la nuit chez son compagnon. Deux montants de 40 francs. La magistrate a utilisé une autorisation de stationnement dans un cadre privé.

La ministre radicale, ancienne municipale de La Tour-de-Peilz, se base sur son bon droit, faisant valoir une facilité accordée aux conseillers d’Etat, au chancelier et au vice-chancelier. Cet avantage date de mai 1990, quand la présidence de l’Association des chefs des polices municipales vaudoises (ACPMV) avait décidé d’étendre une autorisation de parcage dite «Carte A.C.», délivrée par la ville de Lausanne aux principales communes du canton.

Exonérée d’un abus de pouvoir —mais certainement moralement écornée par une partie de l’opinion publique qui n’apprécie guère ce genre de procédés—, voici la Conseillère d’Etat Jacqueline de Quattro très clairement placée sur la défensive. Preuve en est que la communication est assurée par le Chancelier de l’Etat de Vaud, Vincent Grandjean et que Mme de Quattro s’enferme dans le mutisme. Reste à savoir à qui profite le dernier épisode de cette saga.

Qui pourrait tirer profit de ce dernier incident?

Pour mesurer qui pourrait tirer profit de ce dernier incident, il nous faut revenir en arrière et à un autre passage de cet interview accordée au journal Le Temps (voir notre billet Jacqueline de Quattro et la réforme policière vaudoise). Dans ce passage, Mme de Quattro affirme très clairement que désormais le politique reprenait la main sur le dossier de la réforme policière vaudoise:

c’est politique, c’est moi qui décide. Cela ne leur a pas fait plaisir [aux policiers]. Je souhaite, dans le cadre de la plateforme canton-commune, arriver à un accord qui serait une première depuis quinze ans.

Elle y souhaite même qu’une fois cet accord conclu, les initiants de l’initiative d’Artagnan retirent cette dernière. 

Sûr que ces propos n’ont pas fait plaisir à tout le monde à l’interne. De là l’intérêt de lâcher ce type d’informations pour la placer l’intéressée dans l’embarras et sur la défensive? J’espère que non, mais l’exemple neuchâtelois et des fuites policières relativement à Mme Valérie Garbani m’incitent à la prudence. Et à la circonspection.

 

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juin 27, 2008 by Lyonel Kaufmann 4 commentaires

Jacqueline de Quattro et la réforme policière vaudoise

Dans le journal Le Temps du vendredi 27 juin, Mme Jacqueline de Quattro, Conseillère d’Etat, fait le bilan de son action après une année. Interrogée sur le dossier de la réforme policière vaudoise, de l’Initiative d’Artagnan et de l’état de la situation, sa réponse est la suivante:

– Je tiens à préciser que j’ai un héritage de quinze ans de problèmes sur mes épaules et que je ne peux pas tout résoudre en une seule année. Il y a un besoin absolu d’harmoniser les processus opérationnels, éviter les doublons et simplifier les prises de décision. En même temps, il y a aussi un besoin de proximité en matière de police. De gens qui connaissent le terrain. C’est le grand écart: concilier à la fois les besoins d’harmonisation et d’unification du commandement et le respect de l’autonomie communale. J’ai pris contact avec tous les milieux, les initiants, ceux qui sont pour ou contre la police unifiée, ceux qui veulent que rien ne change et j’ai retiré le projet à la Police cantonale en disant: c’est politique, c’est moi qui décide. Cela ne leur a pas fait plaisir. Je souhaite, dans le cadre de la plateforme canton-commune, arriver à un accord qui serait une première depuis quinze ans. Et demander cet automne aux initiants de l’initiative d’Artagnan si nos travaux vont dans le sens de leurs préoccupations et s’ils sont d’accord de retirer leur initiative. Après, ils diront oui ou non. Si c’est non, nous irons devant le peuple.

Source: http://www.letemps.ch/template/regions.asp?page=7&article=234980
Tags: PoliceUnique, Vaud, Police

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juin 22, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Félicitations à Carl-Alex Ridoré

Toutes mes félicitations à Carl-Alex Ridoré (PS) qui a été élu ce jour préfet de la Sarine fribourgeoise en remplacement de Nicolas Deiss (PDC), démissionnaire. Lors du second tour de l’élection préfectorale, les citoyens ont préféré cet avocat d’origine haïtienne, âgé de 36 ans, au candidat démocrate-chrétien. La victoire de Carl-Alex Ridoré est sans appel et il a obtenu 11’706 suffrages contre 7914 à Hubert Dafflon (PDC).
L’exploit est de taille puisque c’est la première fois depuis 1991 qu’un préfecture est à nouveau en mains socialistes et que le PDC perd, par la même occasion, sa dernière préfecture cantonale.

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*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

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Image parEak K. de Pixabay

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