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Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

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août 29, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Dix contrôles et aucune vente illicite à signaler (24Heures 28.08.2008)

En juin 2008, le commission Prévention-Riviera tenait une conférence de presse pour faire état des résultats d’une campagne d’achats tests d’alcool, conduit en collaboration avec la Fondation vaudoise contre l’alcoolisme, réalisés par quinze jeunes âgés de 14 à 17 ans. Sur les 17 cafés-restaurants testés, 16 avaient servi de l’alcool illicitement. Le bilan était un peu meilleur à la caisse des commerces visités: les jeunes, dûment formés et suivis discrètement par un adulte, avaient pu acheter de l’alcool dans 5 magasins sur 11.
La démarche s’inscrivait dans une vaste campagne de prévention menée entre Vevey et Montreux de juin 2007 à juin 2008, sous la houlette d’acteurs des milieux politiques, sociaux, judiciaires, policiers ou scolaires. Parmi les actions entreprises, on peut citer

  • une lettre envoyée aux parents des élèves de 8e et 9e années pour les inciter à dialoguer avec leurs enfants afin notamment de prévenir les beuveries post-examens,
  • une action menée à l’été 2006 auprès des fêtes organisées au bord du lac avec distribution par de jeunes adultes, encadrés par des animateurs jeunesse, de bouteilles d’eau et de message à caractère préventif.

Si la démarche des achats-test ne consistait pas à piéger les commerçants, force était de constater que cette deuxième action six ans après la première ne permettait pas de constater d’amélioration de la situation malgré le fait que les grands magasins paraissaient prendre la question plus au sérieux que les café-restaurants.
Néanmoins, si les commerçants n’ont pas été dénoncés conformément aux principes éthiques prévalant dans les démarches d’achats-tests, Police Riviera, associée à la campagne promettait une intensification des contrôles dans les établissements publics. Même s’il n’est pas évident de prendre les responsables sur le fait.
Dans son édition de hier (jeudi 28 août), le journal 24Heures revient sur le sujet suite au tour de vice annoncé par Police Rivera.

Dix contrôles et aucune vente illicite à signaler
ALCOOL
Parallèlement à la prévention des abus chez les jeunes, Police Riviera a passé à l’action en serrant la vis dans les établissements publics.
Les chiffres étaient inquiétants! En juin, Police Riviera livrait un constat issu d’une grande campagne de prévention menée depuis le printemps 2007 contre la vente d’alcool aux mineurs dans les restaurants et dans les commerces. […]
Depuis? L’été a passé, les contrôles se sont resserrés. Et hier, Police Riviera livrait un nouveau bilan. «La semaine dernière, dix contrôles ont été ef fectués dans différents établis sements publics. Aucune infraction ou vente illicite d’alcool à des mineurs n’a été constatée.» Prévention et pression auraient-ils permis d’inverser la courbe? L’adjudant Pierre-André Emery, chargé de prévention auprès de Police Riviera, ne crie pas encore victoire, même si depuis juin, une seule dénonciation a été formulée. «Il y a eu un gros travail de communication, et de nombreuses rencontres avec les tenanciers et les consommateurs. Ces mesures portent leurs fruits. Mais la prévention contre l’abus d’alcool chez les jeunes ne peut pas baisser la garde, le message doit être pilonné!» F. M. H.

Source : 24 heures (28.08.2008)

L’intérêt du travail de la Commission prévention Riviera et son originalité réside dans le travail en réseau: autorités politiques, scolaires et judiciaire, animateurs jeunesse et Police. L’intérêt est aussi de soutenir des actions ou d’initier des démarches autant de prévention ou de sanction. Chacun des acteurs collaborant tout en restant dans son rôle. De plus, il faut noter également le travail fait lors des manifestations tels le Festival de Jazz, les 20 ans du Gymnase de Burrier ou la Fête de la musique avec des stands de prévention, la distribution de boissons non alcoolisées par des pairs, la sensibilisation des bénévoles en leur rappelant les règles relatives à la vente d’alcool ou les contrats passés avec les conducteurs de non-consommation d’alcool pendant la soirée.
Pour compléter, les derniers chiffres à disposition concernant la consommation d’alcool chez les jeunes vont dans le sens d’une diminution globale de celle-ci (Source ISPA : Les jeunes Suisses recourent moins souvent à l’alcool, au tabac et au canabis 01.07.2008). A la suite de cette enquête, il s’avérait que la consommation problématique d’alcool des jeunes se produit lors d’occasions ponctuelles où l’alcool est le plus souvent consommé en grandes quantités, phénomène qu’on appelle aussi de plus en plus fréquemment « binge drinking » ou « biture expresse ». En 2007, 14% des garçons de 15 ans présentaient ce mode de consommation, pour près de 8% des filles du même âge. En 2003, ces proportions étaient respectivement de 20% et 11%. Pour l’ISPA, si les parents, les enseignants et les jeunes eux-mêmes ont plus conscience de cette problématique, le prix et la facilité avec laquelle il est possible d’acheter de l’alcool reste le problème principal

«Et l’on peut acheter à tout moment et à bas prix des boissons alcooliques, notamment de la bière qui est aujourd’hui vraiment trop bon marché», constate Michel Graf, directeur de l’ISPA. Il revient donc à la société d’appliquer plus strictement la protection de la jeunesse, notamment les restrictions de vente. La fixation des prix et la limitation de la publicité sont aussi de nature à influencer le mode de consommation des jeunes.»

En matière de prévention, la petite minorité de jeunes ayant une consommation problématique est au centre des préoccupations. La détection précoce des garçons et filles en situation de risque est primordiale pour l’ISPA.

«Il faut pour cela une approche thérapeutique spécifique, incluant tant ces nouvelles formes de consommation que le contexte de vie des jeunes concernés», affirme Michel Graf.

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août 28, 2008 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Un élu veut que tous les passages piétons soient rétablis près des écoles (24Heures)

Le libéral José Espinosa revient à la charge pour exiger plus de sécurité.
En demandant principalement de rétablir des passages piétons dans les zones limitées à 30 km/h. 
Pas satisfait par la réponse à sa première intervention sur le su­jet, José Espinosa remet la com­presse. L’élu libéral demandera à la Municipalité, lors de la rentrée politique boélande, mercredi prochain, de rétablir tous les passages piétons aux abords des écoles et passages fréquentés par les passants. On sait que la zone 30 km/h instal­lée depuis près d’un an au cen­tre du bourg a entraîné, ordon­nances fédérales oblige, la sup­pression desdits passages.
«A l’heure de la rentrée sco­laire, je ne comprends pas que l’on désoriente les enfants en leur donnant une instruction sur la prévention et, en même temps, en ne rétablissant pas des passages piétons tout en rajoutant du mobilier urbain. C’est le Far West!» s’emporte José Espinosa.
En charge, notamment, de la Sécurité, le municipal Lyonel Kaufmann précise que «seuls cinq passages ont été suppri­més, et que les enfants rencon­trent dix passages piétons, dont certains ont été rétablis, aux abords des collèges du secteur».  


Des potelets à retirer 
Autre cheval de bataille du conseiller communal, et tou­jours dans le même secteur: la présence de petits potelets, ins­tallés de manière provisoire sur les deux côtés de l’avenue du Clos-d’Aubonne.
Ces piquets foncés, striés de bandes blanches, ont été placés de manière à ralentir la circula­tion après des contrôles ten­dant à prouver que les voitures dépassaient les 30 km/h sur l’artère, et cela contrairement aux autres axes de la zone. «En revanche, ils ne sont pas régle­mentaires », annonce José Espi­nosa, renseignements pris auprès des services cantonaux concernés. L’élu libéral de­mande de les mettre aux nor­mes «ou de les supprimer».
Sur ce point, l’élu aura en partie gain de cause, puisque les potelets amovibles, érigés pour une période de test indé­terminée, devraient prochaine­ment être retirés. «Nous envisa­geons en effet un aménagement du carrefour Clos-d’Aubonne/ Edouard-Müller afin de ralentir la vitesse, dit Lyonel Kaufmann. Nous allons déposer un préavis en octobre pour proposer de surélever tout le carrefour et d’installer des trottoirs à la place des piquets.» C. BO.

Source: 24Heures – mercredi 27 août 2008

Classé sous :politis

août 27, 2008 by Lyonel Kaufmann 9 commentaires

Botellón or not?

Municipal de la Sécurité et de gauche, les différentes réponses des municipalités de Lausanne et de Genève aux «initiateurs» de Botellón n’ont pas manqué de m’interpeller.  Qu’en est-il après la diffusion ce soir d’Infrarouge à la TSR? Pour m’aider dans ma tâche, tout en visionnant l’émission j’ai publié cinq messages sur mon compte twitter qui m’ont servi de fil rouge à la rédaction de ce billet.
 
Je regarde Infrarouge (TSR) sur le Botellón en buvant une bière…
Petite provocation pour commencer. Il est tard, je rentre de la bibliothèque où j’ai travaillé jusqu’à la fermeture, puis je suis rentré et je suis vanné. Je me mets devant la télé pour décompresser et j’ai pris une bière. Je ne sais même pas encore que le sujet d’Infrarouge est consacré au Botellón. En plus normalement, je fuis devant Infrarouge et aux débats ring de boxe. Mais bon, il y a Marc Vuilleumier que j’apprécie et le sujet m’interpelle en tant que municipal de la Sécurité: qu’aurai-je fait si un tel événement était prévu dans la région?
Bon, pour terminer ce préambule un peu long, je trouve que l’émission pour une fois n’était pas caricaturale (Oscar Freysinger est hospitalisé, cela a dû faciliter les choses!). Des avis certes différents, mais chacun est respectueux des autres.
Je suis interpellé par la volonté des initiateurs de Botellón de refuser toute structure et toute responsabilité.
Depuis une année, je me familiarise avec les nouvelles habitudes des gens dans leur consommation d’alcool et donc pas forcément uniquement celle des jeunes qui nous sont présentés ce soir. La pratique consistant à se «charger» en début de soirée dans des lieux publics et avant d’aller festoyer ailleurs m’est connue. Cette pratique est favorisée par plusieurs facteurs non exhaustifs:
• le prix élevé de l’alcool dans les établissements publics, principalement les bars et discothèques;
• prix élevé en comparaison au prix de l’alcool dans les magasins (surtout depuis l’abandon des taxes spécifiques sur les alcools forts;
• la possibilité certainement qu’offre les plus âgés de procurer de l’alcool au plus jeunes (quoiqu’il ne soit guère difficile pour des jeunes de moins de 16 ans de se procurer de l’alcool, expérience faite sur la Riviera ce printemps);
• certains producteurs ciblent très clairement et précisément les jeunes;
• le côté tendance.
Là, je découvre très concrètement l’attitude de ceux qui ne veulent pas s’appeler «organisateur», mais »initiateurs» des Botellón. Ils sont loin d’être naïfs, connaissent le poids des mots et l’arme de la sémantique en choisissant le terme d’«initiateur» et en refusant celui d’«organisateur». Ce sont des antithèses parfaites des trotskistes! 
Il y a là un refus de vouloir se laisser récupérer en les confrontants et en leur donnant des responsabilités. On est loin de l’auto-gestion et de toute forme d’organisation. L’outil ultime, Facebook, est le seul principe organisateur.
En même temps, comment en rester à ce stade lorsqu’une manifestation est prévue avec plus de 400 personnes qui ont confirmé leur venue et près de 6’000 en tout susceptible de venir. On ne peut pas dire que c’est simplement une question de faire confiance aux jeunes, qu’ils sont responsables, etc. Toute manifestation de cette ampleur, pour des jeunes ou des adultes, nécessite de dépasser le stade premier de la non-organisation. En quoi les jeunes échapperaient-ils aux demandes formulées à tout en chacun? Brièvement je me dis que le mouvement ouvrier, les syndicats et les partis de gauche auraient peut-être dû adopter la même attitude, plutôt que de chercher à se montrer pragmatiques, responsables, raisonnables. Alors le Botellón comme mouvement révolutionnaire qui s’ignore?
Jeunes, alcool, Facebook (réseaux sociaux, internet). Botellón, no responsabilité = cocktail détonant…
Tout me semble rassemblé pour faire peur au citoyen lambda. Surtout s’il est déconnecté d’internet… Et cela rajoute une couche sur des formes de méfiance à l’égard du réseau. Je suis sûr que certains donnent là raison à la Chine et à son contrôle totalitaire de la toîle.
Ahrgh Botellón (et pas botélon). Je suis définitivement has been
Petit détour sur Google pour vérifier l’orthographe du Botellón. Et hop petit passage aussi du côté de Botellón – Wikipédia. L’article est très ébauché, l’accent est principalement mis sur l’Espagne, l’alcool et la biture. Pas très original, mais contredit très largement les propos des «initiateurs» cherchant à minimiser la place et le rôle de l’alcool dans ces manifestations.
Suffisait-il de parler de limonade et pic-nic plutôt que Botellón pour qu’il n’y ait pas de problème, pas de polémique, pas de médiatisation?
Question à première vue pertinente de la part d’un des «initiateurs». En même temps, largement faussée, car
– je ne connais pas beaucoup de pic-nic spontané de 400, 2000 à 6000 personnes et qui se déroulerait sans un minimum d’organisation, voire sans une demande d’autorisation pour manifestation;
– c’est pas par hasard que l’initiateur a utilisé le terme de Botellón sur FaceBook et pas celui de pic-nic.
Par contre, effectivement, cela peut expliquer la caisse de résonance médiatique.
Je suis d’accord avec Marc Vuilleumier pour considérer le phénomène du Bottelón comme symptôme d’un hyperlibéralisme ambiant…
En définitive, cette volonté de se défausser de la responsabilité de l’événement en prétextant qu’on ne peut s’engager pour autrui par rapport à une non-organisation d’événement n’est pas loin d’être une forme de paroxysme du libéralisme. Une liberté individuelle totale et une intelligence collective auto-structurante, mais non constitutive de lien social ou de solidarité, comparable à la main invisible du marché, servent de concept philosophique de base au Botellón —auquel il faut y associer le jeunisme qui fait que Pierre Maudet à trente ans est déjà vieux (dessin de Mix&Remix). Il y a une forme de rapprochement à faire avec Wikipedia, puisqu’il y aussi l’idée d’une intelligence auto-régulatrice dans la construction du savoir (mais avec une forme de responsabilité éditoriale collective). 
Après-coup et réflexion faite, plus que l’hyperlibéralisme, ce qui définit mieux le mouvement, c’est les Libertariens et le Libertarianisme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Libertarianisme). La lecture de l’article m’apprend d’ailleurs que Jim Wales (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jimmy_Wales), fondateur de Wikipedia, se situe dans cette mouvance. Ca tombe bien, non?
@lyonelkaufmann après 5 tweets, le sujet du bottéllon mérite certainement un billet de blog 😉
Merci à mon correspondant alors que je twitterisais pensant ne pas avoir le temps de rédiger un billet. Prouvant par là-même que bloguer et twitteriser peuvent être des activités complémentaires, mais qu’elles poursuivent des finalités de communication fort différentes.
D’autant que je n’ai pas épuisé le sujet ou le questionnement y relatif. Alors en vrac quelques considérations:
• Auparavant les débordements ou les expériences vécues par la jeunesse, et notamment celles en lien avec l’alcool, se déroulait sous la houlette d’acteurs valorisés socialement (société de jeunesse, choeur, fanfare, clubs sportifs) et d’activités ritualisées (giron, fêtes campagnardes, bal de campagne). Or, ces institutions sont en recul ou disparaissent: il faut encore ajouter le phénomène de la rurbanisation qui «anonymise« les individus. Sans nul doute que ces éléments désécurisent ou insécurisent tant les jeunes que certains adultes.
• Quel est le rapport que nous entretenons avec l’espace public? Quelle considération en avons-nous? Quel sens à l’intérêt commun? (Vous voyez je ne stigmatise pas les jeunes sur ce point)
• Quel est notre rapport à l’alcool, plus particulièrement à l’alcool chez les jeunes? 
• L’autorité peut-elle tout à la fois préconiser, développer des campagnes diverses de prévention relativement à l’alcool chez les jeunes et simultanément autoriser la tenue d’événements comme le Botellón? Où commence l’hypocrisie en ce domaine?
• Les initiateurs ont beaucoup mis l’aspect et le rôle festif  de l’alcool chez les jeunes. En même temps, les études relatives à la violence chez les jeunes, si elles montrent que celle-ci n’est pas fondamentalement en augmentation, montrent également un fort taux de corrélation entre les actes les plus violents et la consommation d’alcool chez les jeunes. Dès lors, mon attitude concernant ce type de manifestation implique que l’autorité ne cède ni à l’angélisme, ni à la stigmatisation. Dès lors, l’attitude des initiateurs ne peut se défausser entièrement de la question de leur responsabilité dans la publication d’un tel événement sur Facebook ou sur un autre réseau social.
 
PS: ce billet retarde encore la publication de mon deuxième volet sur l’Histoire suisse: Sans la France, la Suisse aurait-elle pu voir le jour? Patience…

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août 25, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

"I am Hillary Clinton and I do not approve that message"

Dimanche 24 août 2008, très rapidement après la désignation de Joe Biden comme colistier de Barack Obama, John McCain faisait paraître cette publicité où il s’interrogeait sur le fait qu’Hillary Clinton n’ait pas été désignée pour accompagner Barack Obama sur le ticket démocrate et insinuait que c’était parce que Hillary Clinton avait dit des vérités dérangeantes concernant le candidat démocrate:


Lundi 25 août 2008, Hillary Clinton a répondu sur son espace youtube* à John McCain:

« Now I understand that the McCain campaign is running ads trying to divide us and let me state what I think about their tactics and these ads: I am Hillary Clinton and I do not approve that message. »


Ainsi avec son annonce, il se pourrait bien que John McCain ait rendu un fier service à Barack Obama, car une des dernières inconnues dans le camp démocrate résidait dans l’attitude qu’allait adopter Hillary Clinton lors de la convention et dans la campagne de l’élection de novembre. Désormais cette incertitude semble levée et l’opiniâtreté d’Hillary Clinton dans les primaires démocrates pour triompher de Barack Obama a toutes les chances de se reporter contre John McCain.
* et a immédiatement répercuté la publication de sa vidéo, via son Twitter.

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août 24, 2008 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Obama : my American Prayer

Alors que Barack Obama choisissait son colistier en la personne de Joe Biden, Dave Stewart (ex-Eurythmics) composait une nouvelle ode à la gloire du candidat démocrate et réunissait une brochette de personnalités du show-biz pour l’interpréter dont Forest Whitaker, Macy Gray, Whoopi Goldberg, Cyndi Lauper, Herbie Hancock, Joan Baez et… Pamela Anderson. Voici le résultat:


A noter la référence appuyée à Martin Luther King.
Pour revenir à la désignation du colistier et à la stratégie marketing, centrée sur le web, de Barack Obama, je vous conseille l’intéressante lecture de Guillemette Faure sur Rue89: Un biiip à 2 heures du matin… Ca doit être Barack.
Bon dimanche!

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