• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale

politis.ch

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

  • accueil
  • vocabulaire
  • Charte
  • qui suis-je

politis

septembre 22, 2008 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

What crisis? Crisis!*

Depuis juillet 2007, l’entrée dans le vocabulaire de crise a été progressive malgré les références constantes à l’événement totémique du Krach de 1929. Tout a été fait d’abord pour distinguer la situation de 2007 à celle de 1929. Nous aurions appris de cette crise de 1929, nous en serions sortis plus intelligents et les marchés sauraient désormais se réguler. Et puis les fondamentaux de l’économie étaient «bons» (n’est-ce pas John McCain?). Dans le fond, ce n’était qu’une situation limitée au secteur de la finance. Pas de panique!

Ben justement depuis la semaine dernière, c’est la panique sur les marchés financiers. A tel point que maintenant ce serait vraiment la crise. Seulement depuis la semaine dernière parce que le coeur des marchés financiers sont touchés et que la crise menace l’establishment financier? Au fond la crise ne serait-elle réelle que lorsqu’elle atteint les cercles de décision les plus élevés de l’oligarchie économique et financière?

Clairement la notion de crise dépend également des éléments que l’on juge fondamentaux pour parler de crise. Le choix de ces éléments n’est pas neutre et certains de ceux-ci ont des conséquences plus que douloureuses et réelles pour des millions de gens -et cela depuis plus longtemps que juillet 2007 ou septembre 2008. Pour sa part, Natasha Chart (Natasha Chart :: This Is Now A Crisis), sur le blog OpenLeft, en liste quelques-uns:

  • 45 million Americans have « don’t get sick » for a healthcare plan and people who have health coverage but do get sick are still at high risk of going bankrupt.
  • The global greenhouse effect is wreaking havoc on our species’ life support systems.
  • Americans’ wages have been stagnating and they don’t have the purchasing power they had at the turn of the century.
  • Impoverished Americans have rising and Third World infant mortality rates, thanks to Bush administration cutsin social services that financed truly wasteful government spending.

Pourtant poursuit Natasha Chart:

When you fail, or your family fails, when your neighborhood fails, it’s unfortunate.

When Ben Bernanke’s and Henry Paulson’s ex-colleagues fail, it’s a crisis that demands immediate attention and any solution available. Those people, they need some help.

Note: Ben Bernake est le président de la Réserve fédéral et Henry Paulson le secrétaire au Trésor du gouvernement Bush.

* Quelle crise? La crise! (référence bien évidemment à l’album de Supertramp (Crisis? What crisis?)

Classé sous :politis

septembre 5, 2008 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Pub pour le petit crédit: la fronde des villes continue (20 minutes)

Les élus veulent interdire la pub pour le crédit à la consommation. D’autres suggèrent plutôt de taxer les sociétés de prêt.
Article de Sébastien Jost dans le journal 20 Minutes du vendredi 5 septembre 2008.
Nouvelle salve contre le petit crédit. La Tour-de-Peiz vient d’emboîter le pas à plusieurs autres communes dans la lutte contre la pub pour ce produit. Mercredi, le conseil communal a renvoyé à la Municipalité une motion demandant l’interdiction des affiches pour le petit crédit. «L’Exécutif ne s’est pas encore prononcé formellement, réagit Lyonel Kaufmann. Mais personnellement, je suis favorable à cette mesure.» Le municipal de la Police a toutefois reconnu qu’étant donné la situation juridique (voir ci-dessous), la mise en œuvre d’un tel règlement serait compliqué.
Le petit crédit est décrié par beaucoup. La motion boélande parle même de «produit nocif». Mais tous ne prônent pas l’interdiction des placards publicitaires. «Le phénomène du petit crédit conduit au surendettement de nombreux jeunes. C’est une vraie plaie. Mais interdire les affiches ne sert pas à grand chose, relève Pierre Maudet. En deux minutes, internet prendra le relais.» Président de la Commission fédérale pour l’enfance et la jeunesse, il préconise d’autres moyens: «Il faut ponctionner 1% du chiffre d’affaires de cette industrie. Cette somme permettrait ensuite de financer des campagnes de prévention. Cela serait plus pertinent que les interdictions à tout va qui commencent à me fatiguer.»

Prêts à aller jusqu’au Tribunal fédéral 
Lausanne a été la première à adopter un règlement interdisant la pub pour le petit crédit. La Société générale d’affichage (SGA) a déposé un recours. Pour la SGA, la loi fédérale autorise la réclame pour les prêts compris entre 500 et 80 000 fr. A Lausanne, on estime que c’est la loi cantonale qui interdit ce type de publicité qui fait foi. Le Tribunal administratif devrait trancher d’ici à la fin de l’année. Les adversaires se disent prêts à aller jusqu’au Tribunal fédéral.

Vous pouvez également répondre au sondage du jour sur le site de 20 Minutes : Sondage: Que pensez-vous de ce type de publicité?

Classé sous :politis

septembre 4, 2008 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Gustav a atteint les côtes d'Edipresse

Les informations en provenance du groupe Edipresse de ces deux dernières semaines ne manquent pas d’être inquiétantes pour la pluralité de la presse et l’information de la population de la Riviera vaudoise. Elles sont évidemment également fort inquiétantes pour les employés d’Edipresse.

En effet, nous apprenions récemment (19 août 2008) l’entrée en force d’ Edipresse dans le capital du journal Le Régional. Comme d’habitude, le groupe Edipresse dispense des propos lénifiants comme quoi l’indépendance du journal et de la rédaction sera garantie. Pour rappel des propos comparables avaient été tenus lors du rachat de l’ancien journal La Presse-Riviera Chablais. Rapidement, après une période transitoire où le titre coexistait avec son homologue 24Heures, le journal disparaissait au profit d’une nouvelle formule de 24Heures déclinée en quatre versions «régionalisées».

Dans la foulée de ce rachat, nous apprenions déjà qu’en conséquence de ce rachat, «24hebdo Riviera Chablais», journal gratuit hebdomadaire concurrent disparaissait ainsi que deux postes de travail et qu’une nouvelle formule tabloïd du Régional sortirait le 18 septembre.

Suite à ce rachat, consultée relativement à l’évidente position monopolistique suite à du groupe Edipresse sur la Région lémanique, la Commission de la concurrence n’y voyait rien à redire et donnait son feu vert à l’opération. Pour rappel, outre 24Heures et Le Régional —sans parler du Matin Orange et du Matin Bleu, le groupe Edipresse détient une participation substantielle dans la Télévision régionale ICI-TV et dans le projet VaudFribourgTV (VFTV) qui cherche à obtenir la concession pour la zone 2 Vaud Fribourg. Dans ce projet, Edipresse est le plus gros actionnaire avec une participation de 28.62%, suivent la Municipalité de Lausanne avec 22,12% et le groupe Saint-Paul ( La Liberté ) avec 10.4%. Sans oublier le rôle qui jouera sa régie publicitaire Ecran Pub dans laquelle Edipresse est ici majoritaire. (Pourquoi Edipresse crée Vaud TV).

Dans ce cadre-là, l’Office fédéral de la communication (OFCOM) sera-t-il plus soucieux de la pluralité des médias en délivrant sa concession au projet concurrent de Rouge FM et de Live TV (leur site de présentation) au projet similaire? En l’état actuel, on peut en douter (La TV régionale sans surprise), sauf si la participation des collectivités publiques au projet VaudFribourg se révélait finalement contre-productif comme lors de l’octroi des concessions des casinos.

Comme le relevait Domaine Public (La TV régionale sans surprise), en cas d’obtention de la concession

«Les journalistes de la TV Edipresse/La Liberté partageront les locaux des rédactions régionales des journaux du groupe. C’est bon pour la synergie et l’efficacité, mais pas pour la pluralité de l’information.»

A la suite des informations de la semaine dernière, on peut également prévoir que cette synergie pourrait également se traduire en une nouvelle charrette de licenciements. En effet, Edipresse annonçait en fin de semaine 50 suppressions d’emplois comme premier train de mesures «d’optimisation de son fonctionnement et de réduction des coûts» (Edipresse supprime 50 emplois). La principale cause de la dégradation de la situation avancée, malgré un bénéfice respectable dégagé par l’entreprise (10,4 % selon le syndicat Comedia), réside pour Edipresse l’arrivée des journaux gratuits et cela nécessiterait, selon le directeur d’Edipresse que les journaux payants soient «suffisamment intéressants pour que les lecteurs ne renoncent pas à l’abonnement ou à l’achat en kiosque». (Edipresse supprime 50 emplois) Sans vouloir être méchant, je me demande comment cet objectif pourra être atteint si l’on se sépare des forces vives du journal. De plus, l’éditeur est lui-même à la base de cette situation suite au lancement de son journal «gratuit» Le Matin Bleu qui cannibalise son grand-frère Le Matin Orange.

Toujours est-il qu’entre monoculture éditoriale et appauvrissement progressif de la substance journalistique du principal journal régional vaudois ( 24Heures), auxquels s’ajoute des journalistes à la merci d’un patron à la position monopolistique, la situation ne manque pas d’inquiéter. De plus, l’évolution de la presse vaudoise s’inscrit dans un trend mondial (L’horizon s’assombrit pour les journaux américains) et il convient de s’interroger sur les modèles alternatifs permettant tant un travail journalistique de qualité qu’une véritable satisfaction du lectorat dans sa recherche d’une information de qualité. Si en France, des projets éditoriaux nouveaux initiés par des journalistes ont vue le jour sur le net ( Rue89, Médiapart, Arrêt sur images) et remettent à l’honneur le journalisme d’investigation, le modèle économique paraît encore fragile et risqué face à des internautes peu enclins à payer désormais pour de l’information. De plus, ce modèle se heurtera en Suisse romande à l’étroitesse du marché.

Néanmoins, aujourd’hui en premier lieu, mes pensées vont en direction des collaborateurs et collaboratrices d’Edipresse qui vivent des moments fort difficiles et auxquels j’adresse mon modeste soutien. Dans leur mouvement, j’espère que l’exemple des conflits sociaux que nous avons connus récemment en Suisse leur permettra de trouver la force et l’élan nécessaire pour poursuivre leur juste lutte.

Mise à jour (05.09.2008):

Ceux qui veulent soutenir les salariés d’Edipresse et qui ont un compte Facebook peuvent le faire en adhérant au groupe Soutien aux employés d’Edipresse. qui rencontre un joli succès puisqu’il compte déjà 297 membres.

Nota bene:

Pour celles et ceux qui souhaiteraient disposer d’analyses intéressantes et fouillées sur le devenir de la presse, je leur conseille la dense et riche lecture de Novövision.

Classé sous :politis

août 29, 2008 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Dix contrôles et aucune vente illicite à signaler (24Heures 28.08.2008)

En juin 2008, le commission Prévention-Riviera tenait une conférence de presse pour faire état des résultats d’une campagne d’achats tests d’alcool, conduit en collaboration avec la Fondation vaudoise contre l’alcoolisme, réalisés par quinze jeunes âgés de 14 à 17 ans. Sur les 17 cafés-restaurants testés, 16 avaient servi de l’alcool illicitement. Le bilan était un peu meilleur à la caisse des commerces visités: les jeunes, dûment formés et suivis discrètement par un adulte, avaient pu acheter de l’alcool dans 5 magasins sur 11.
La démarche s’inscrivait dans une vaste campagne de prévention menée entre Vevey et Montreux de juin 2007 à juin 2008, sous la houlette d’acteurs des milieux politiques, sociaux, judiciaires, policiers ou scolaires. Parmi les actions entreprises, on peut citer

  • une lettre envoyée aux parents des élèves de 8e et 9e années pour les inciter à dialoguer avec leurs enfants afin notamment de prévenir les beuveries post-examens,
  • une action menée à l’été 2006 auprès des fêtes organisées au bord du lac avec distribution par de jeunes adultes, encadrés par des animateurs jeunesse, de bouteilles d’eau et de message à caractère préventif.

Si la démarche des achats-test ne consistait pas à piéger les commerçants, force était de constater que cette deuxième action six ans après la première ne permettait pas de constater d’amélioration de la situation malgré le fait que les grands magasins paraissaient prendre la question plus au sérieux que les café-restaurants.
Néanmoins, si les commerçants n’ont pas été dénoncés conformément aux principes éthiques prévalant dans les démarches d’achats-tests, Police Riviera, associée à la campagne promettait une intensification des contrôles dans les établissements publics. Même s’il n’est pas évident de prendre les responsables sur le fait.
Dans son édition de hier (jeudi 28 août), le journal 24Heures revient sur le sujet suite au tour de vice annoncé par Police Rivera.

Dix contrôles et aucune vente illicite à signaler
ALCOOL
Parallèlement à la prévention des abus chez les jeunes, Police Riviera a passé à l’action en serrant la vis dans les établissements publics.
Les chiffres étaient inquiétants! En juin, Police Riviera livrait un constat issu d’une grande campagne de prévention menée depuis le printemps 2007 contre la vente d’alcool aux mineurs dans les restaurants et dans les commerces. […]
Depuis? L’été a passé, les contrôles se sont resserrés. Et hier, Police Riviera livrait un nouveau bilan. «La semaine dernière, dix contrôles ont été ef fectués dans différents établis sements publics. Aucune infraction ou vente illicite d’alcool à des mineurs n’a été constatée.» Prévention et pression auraient-ils permis d’inverser la courbe? L’adjudant Pierre-André Emery, chargé de prévention auprès de Police Riviera, ne crie pas encore victoire, même si depuis juin, une seule dénonciation a été formulée. «Il y a eu un gros travail de communication, et de nombreuses rencontres avec les tenanciers et les consommateurs. Ces mesures portent leurs fruits. Mais la prévention contre l’abus d’alcool chez les jeunes ne peut pas baisser la garde, le message doit être pilonné!» F. M. H.

Source : 24 heures (28.08.2008)

L’intérêt du travail de la Commission prévention Riviera et son originalité réside dans le travail en réseau: autorités politiques, scolaires et judiciaire, animateurs jeunesse et Police. L’intérêt est aussi de soutenir des actions ou d’initier des démarches autant de prévention ou de sanction. Chacun des acteurs collaborant tout en restant dans son rôle. De plus, il faut noter également le travail fait lors des manifestations tels le Festival de Jazz, les 20 ans du Gymnase de Burrier ou la Fête de la musique avec des stands de prévention, la distribution de boissons non alcoolisées par des pairs, la sensibilisation des bénévoles en leur rappelant les règles relatives à la vente d’alcool ou les contrats passés avec les conducteurs de non-consommation d’alcool pendant la soirée.
Pour compléter, les derniers chiffres à disposition concernant la consommation d’alcool chez les jeunes vont dans le sens d’une diminution globale de celle-ci (Source ISPA : Les jeunes Suisses recourent moins souvent à l’alcool, au tabac et au canabis 01.07.2008). A la suite de cette enquête, il s’avérait que la consommation problématique d’alcool des jeunes se produit lors d’occasions ponctuelles où l’alcool est le plus souvent consommé en grandes quantités, phénomène qu’on appelle aussi de plus en plus fréquemment « binge drinking » ou « biture expresse ». En 2007, 14% des garçons de 15 ans présentaient ce mode de consommation, pour près de 8% des filles du même âge. En 2003, ces proportions étaient respectivement de 20% et 11%. Pour l’ISPA, si les parents, les enseignants et les jeunes eux-mêmes ont plus conscience de cette problématique, le prix et la facilité avec laquelle il est possible d’acheter de l’alcool reste le problème principal

«Et l’on peut acheter à tout moment et à bas prix des boissons alcooliques, notamment de la bière qui est aujourd’hui vraiment trop bon marché», constate Michel Graf, directeur de l’ISPA. Il revient donc à la société d’appliquer plus strictement la protection de la jeunesse, notamment les restrictions de vente. La fixation des prix et la limitation de la publicité sont aussi de nature à influencer le mode de consommation des jeunes.»

En matière de prévention, la petite minorité de jeunes ayant une consommation problématique est au centre des préoccupations. La détection précoce des garçons et filles en situation de risque est primordiale pour l’ISPA.

«Il faut pour cela une approche thérapeutique spécifique, incluant tant ces nouvelles formes de consommation que le contexte de vie des jeunes concernés», affirme Michel Graf.

Classé sous :politis

août 28, 2008 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Un élu veut que tous les passages piétons soient rétablis près des écoles (24Heures)

Le libéral José Espinosa revient à la charge pour exiger plus de sécurité.
En demandant principalement de rétablir des passages piétons dans les zones limitées à 30 km/h. 
Pas satisfait par la réponse à sa première intervention sur le su­jet, José Espinosa remet la com­presse. L’élu libéral demandera à la Municipalité, lors de la rentrée politique boélande, mercredi prochain, de rétablir tous les passages piétons aux abords des écoles et passages fréquentés par les passants. On sait que la zone 30 km/h instal­lée depuis près d’un an au cen­tre du bourg a entraîné, ordon­nances fédérales oblige, la sup­pression desdits passages.
«A l’heure de la rentrée sco­laire, je ne comprends pas que l’on désoriente les enfants en leur donnant une instruction sur la prévention et, en même temps, en ne rétablissant pas des passages piétons tout en rajoutant du mobilier urbain. C’est le Far West!» s’emporte José Espinosa.
En charge, notamment, de la Sécurité, le municipal Lyonel Kaufmann précise que «seuls cinq passages ont été suppri­més, et que les enfants rencon­trent dix passages piétons, dont certains ont été rétablis, aux abords des collèges du secteur».  


Des potelets à retirer 
Autre cheval de bataille du conseiller communal, et tou­jours dans le même secteur: la présence de petits potelets, ins­tallés de manière provisoire sur les deux côtés de l’avenue du Clos-d’Aubonne.
Ces piquets foncés, striés de bandes blanches, ont été placés de manière à ralentir la circula­tion après des contrôles ten­dant à prouver que les voitures dépassaient les 30 km/h sur l’artère, et cela contrairement aux autres axes de la zone. «En revanche, ils ne sont pas régle­mentaires », annonce José Espi­nosa, renseignements pris auprès des services cantonaux concernés. L’élu libéral de­mande de les mettre aux nor­mes «ou de les supprimer».
Sur ce point, l’élu aura en partie gain de cause, puisque les potelets amovibles, érigés pour une période de test indé­terminée, devraient prochaine­ment être retirés. «Nous envisa­geons en effet un aménagement du carrefour Clos-d’Aubonne/ Edouard-Müller afin de ralentir la vitesse, dit Lyonel Kaufmann. Nous allons déposer un préavis en octobre pour proposer de surélever tout le carrefour et d’installer des trottoirs à la place des piquets.» C. BO.

Source: 24Heures – mercredi 27 août 2008

Classé sous :politis

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 183
  • Page 184
  • Page 185
  • Page 186
  • Page 187
  • Pages provisoires omises …
  • Page 273
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Articles récents

  • Un ultimatum décoratif…
  • IA : intelligence austéritaire | Dans les algorithmes
  • Partisanerie et polarisation sociale au Mexique | Le Devoir
  • “Séisme” aux Pays-Bas : l’extrême droite arrive en tête des législatives
  • ChatGPT: derrière l’exploit, des ouvriers du clic exposés à des récits de viol
  • Les rassemblements Trump sont aussi des bulles
  • Le bannissement de Trump sur Twitter montre où se trouve le pouvoir maintenant – The New York Times
  • Les tweets de Trump n’ont jamais été que des tweets
  • Mauro Poggia: «Comment Pierre Maudet pouvait-il continuer à diriger des gens qui disent avoir peur de lui?» – L’Affranchi
  • Les premières nominations de Biden promettent une administration à l’opposé de celle de Trump

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

Crédit image (fond)

Image parEak K. de Pixabay

Catégories

  • actualité
  • lecture
  • luttes
  • monde
  • Opinions
  • politis
  • Presse
  • Suisse

Copyright © 2025 · Kickstart Pro on Genesis Framework · WordPress · Se connecter