En 1991, lors de la première guerre d’Irak, les gens, en Europe et notamment en France, s’étaient rués sur les produits de première nécessité (huile, sucre, pâtes, etc.). Comme si la guerre avait la moindre chance de toucher le continent européen ou les pays producteurs agricoles… Après coup, certains ont eu l’air malin avec leur stock. L’actuelle baisse de la consommation relève exactement de la même irrationalité : les Européens, craignant les conséquences d’une crise qu’on leur annonce à longueur de journée comme la plus catastrophique depuis 1929, diminuent leur consommation « au cas où ».
La suite: Coulisses de Bruxelles, UE
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