Campohermoso (Espagne), trois fois la superficie de Paris consacré exclusivement à la culture intensive de fruits et légumes. Des serres, seulement des serres. Un dédale de kilomètres de serres, toutes en plastique. Une marée blanche qui dévore la côte, engloutit les villes et grignote inexorablement la montagne. Sous les serres d’Almeria, la production été comme hiver d’aliments bio se fait au prix d’une surexploitation des ressources humaines et naturelles.
Cette seule image accompagnant l’article du journal Le Monde en dit déjà beaucoup…
La suite de l’article (réservé aux abonnés) : En Andalousie, plongée dans l’enfer des serres de la tomate bio | Le Monde
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