La presse de boulevard fait le jeu de l’extrême droite en présentant des sujets d’actualité de façon subjective et émotionnelle. Telle est la conclusion d’une étude menée par le Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS).
A l’inverse, cette même presse profite d’une présentation criarde des faits: briser les tabous fait grimper l’audimat et le lectorat. Des mises en scène telles que les rassemblements au Grütli s’inscrivent fort bien dans les nouvelles logiques médiatiques et apportent une attention accrue aux acteurs d’extrême droite, note le FNS.
Source : Edicom
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