Billets précédents :
– Philippe Leuba : le maillon faible de la droite vaudoise
– Jacqueline de Quattro : la fausse suivante
– De Ségolène à Jacqueline : les médias en campagne
– Quand la scène politique nationale plane sur les élections vaudoises.
– Un parti socialiste vaudois solide et mature
J’ai fort l’impression que l’ambition personnelle de Philippe Martinet, associée à la volonté d’un scribouillard édipressien de jouer aux pythies électorales et à celle de certains Verts de se déployer vers le centre-droit de l’échiquier politique -Laurent Rebeaud étant un bel exemple de crypto droite verdienne—, conduisent les Verts vaudois à l’autogoal.
Les résultats provisoires de l’opération fragilisent avant tout leur conseiller d’Etat sortant et aboutissent à l’organisation de primaire internes chez les Verts sous le regard et l’arbitrage des citoyens vaudois.
On est jamais mieux trahi que par sa propre famille politique. Dusse cette maxime ne pas s’appliquer à François Marthaler au soir du premier tour. Pour lui et pour la gauche vaudoise.
Avec ce billet, nous arrivons au terme de notre petit tour d’horizon de ce tour de chauffe. Nous entrons maintenant de plein pied dans la campagne des élections cantonales vaudoises de mars 2007.
A noter aussi l’intéressante initiative des journaux Le Courrier et La Liberté avec la création d’un blog consacré aux élections cantonales vaudoises et intitulé Vaud2007
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