Le conseiller aux Etats Jean Studer (PS/NE) a remporté le 1er tour de l’élection au Conseil d’Etat dans le canton de Neuchâtel, sans obtenir la majorité absolue. La gauche semble toutefois bien placée pour remporter la majorité au Gouvernement.
Avec 21 747 voix au premier tour (38,9 %), Jean Studer devance la présidente libérale de l’actuel Gouvernement, Sylvie Perrinjaquet, qui obtient 20 476 voix (36,7 %). Viennent ensuite le candidat des Verts Fernand Cuche (20 425 voix) et le socialiste sortant Bernard Soguel (19 513 voix).
Occupant le 5e rang avec 18 194 voix, le conseiller national Didier Berberat (PS/NE) complète le bon résultat de la gauche unie, dont quatre candidats figurent parmi les cinq premiers de l’élection.
La participation à l’élection au Conseil d’Etat a été de 44,5 %, contre 44,2 % en 2001. Quelque 22 000 étrangers domiciliés dans le canton, soit 17 % de l’électorat, pouvaient pour la première fois faire usage de leur droit de vote.
Source : dépêche ATS
Certes ce résultat est encourageant. On notera cependant que la présence des poids lourds masculins, issus des Chambres fédérales, a aussi étouffé les candidatures féminines de gauche. Au final, il y aura, au mieux, une seule conseillère d’Etat. Qui plus est libérale !
Un jour mémorable pour la gauche neuchâteloise. Et un jour triste pour les femmes qui perdent un siège comparativement à l’actuelle législature.
Avec 21 747 voix au premier tour (38,9 %), Jean Studer devance la présidente libérale de l’actuel Gouvernement, Sylvie Perrinjaquet, qui obtient 20 476 voix (36,7 %). Viennent ensuite le candidat des Verts Fernand Cuche (20 425 voix) et le socialiste sortant Bernard Soguel (19 513 voix).
Occupant le 5e rang avec 18 194 voix, le conseiller national Didier Berberat (PS/NE) complète le bon résultat de la gauche unie, dont quatre candidats figurent parmi les cinq premiers de l’élection.
La participation à l’élection au Conseil d’Etat a été de 44,5 %, contre 44,2 % en 2001. Quelque 22 000 étrangers domiciliés dans le canton, soit 17 % de l’électorat, pouvaient pour la première fois faire usage de leur droit de vote.
Source : dépêche ATS
Certes ce résultat est encourageant. On notera cependant que la présence des poids lourds masculins, issus des Chambres fédérales, a aussi étouffé les candidatures féminines de gauche. Au final, il y aura, au mieux, une seule conseillère d’Etat. Qui plus est libérale !
Un jour mémorable pour la gauche neuchâteloise. Et un jour triste pour les femmes qui perdent un siège comparativement à l’actuelle législature.
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