• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale

politis.ch

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

  • accueil
  • vocabulaire
  • Charte
  • qui suis-je

mars 11, 2007 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Bye, bye Jacques Chirac… ou presque

Ce soir, Jacques Chirac annoncera qu’il ne brigurra pas de troisième mandat (enfin, c’est ce qui se profile à 99,5%). L’occasion de l’écouter sur ses ambitions après sa réélection de 2002 :


© http://malto.musique.free.fr/

Pour écouter chanter les candidat-e-s actuel-le-s à la Présidentielle, une seule adresse : http://segoetsarkochantent.net/

Compléments

Pendant que vous écouterez chanter Jacques Chirac, je serai complètement occupé au dépouillement des votations et élections de ce week-end. Gros week-end pour le Président de Conseil communal que je suis. J’avoue que je stresse un peu… et que j’aurai certainement besoin de récupérer ces prochains jours. A bientôt.

D’autre part, ce billet est le deux centième billet publié sur politis.ch depuis le mois d’avril 2005. Le centième avait été publié en août 2006.
A ce jour, ces 200 billets sont répartis en 13 catégories et ont généré 211 commentaires ainsi que 19,928 spams (samedi 10 mars à 11h48 –> les 20,000 spams devraient être atteints à la lecture de ce billet).

Merci à tous ceux qui sont venus et viennent occasionnellement ou régulièrement me lire. Un très grand merci à ceux qui m’ont fait l’honneur de déposer un commentaire. L’aventure continue. Avec vous.

Classé sous :politis

mars 10, 2007 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Et si c’était elles? le G8 en 2009…

… comme cela ce serait bien :


Segolene Royal au G8 en 2009
envoyé par da93

Classé sous :politis

mars 9, 2007 by Lyonel Kaufmann 3 commentaires

Quel lapin sortira-t-il du chapeau électoral vaudois?

Quel lapin sortira-t-il du chapeau électoral vaudois ? [quelle pourrait être la forme épicène de cet adage?]
Le dernier week-end pointe le bout de son nez. La tension monte après une campagne fortement aseptisée, n’aurait été la polémique de ces jours derniers relativement à la candidature féminine de Jacqueline de Quattro. Quelle sera la bonne formule du Sport-Toto ? Le temps des stratèges des journées électorales est venu. Que disent nos pythies locales ? En ce domaine, deux lausannois sont généralement courus : Daniel Brélaz et Marcel Cohen Dumani. Je vous laisse allez à leur rencontre ce dimanche sur la place du Château et à l’ancienne académie de Chimie. Pas besoin de vous présenter Daniel Brélaz et vous aurez vite fait de repérer, le cas échéant, la faconde de Marcel Cohen Dumani que j’ai eu le temps d’apprécier du temps de l’ « Appel pour une constitution qui ait du souffle ».
Marcel Cohen Dumani
Photo du site « Appel pour une constitution qui ait du souffle »
Site  et portrait de Marcel Cohen Dumani :
http://appel-vaud.ch/membres/liste/home-mbr/mcd.htm

Pour ma part, n’ayant peur de pas grand chose. Candidat à rien lors de cette élection et heureux ainsi, mais sans pour autant prétendre vouloir rivaliser avec ces deux pythies officielles, j’y vais. Je me lance aussi. Just for the fun.
D’abord pas trop de risques : les candidat-e-s sortant passeront le premier tour en tête. Dans l’ordre : Pascal Broulis, Pierre-Yves Maillard, Jean-Claude Mermoud, Anne-Catherine Lyon et François Marthaler. Après c’est encore actuellement pour moi la bouteille à encre. Les plus exposés auront été Jacqueline de Quattro et Philippe Martinet (affaire de la Coop, polémique sur l’OPTI), mais tant Philippe Leuba que Joseph Zisyadis ont des passés de diviseurs faisant figure d’épouvantail. Par ailleurs, la campagne de dénigrement de Jacqueline de Quattro peut autant jouer en sa faveur qu’en sa défaveur —sans parler de l’inconnue du pourcentage des gens qui ont déjà voté depuis un certain temps déjà. L’impact de cette dernière semaine de campagne —dans un sens comme dans l’autre— se poursuivra au deuxième tour ou dans les marmites d’Etat-majors de dimanche soir. La nuit promet d’être longue.

Y aura-t-il des élus au premier tour ? Peut-être. Les candidats : Pascal Broulis, Pierre-Yves Maillard, Jean-Claude Mermoud.
Quel impact pourrait jouer l’élection au premier tour d’un ou plusieurs candidats ? Là, c’est plus compliqué, car cela dépend en premier lieu de qui passerait la rampe.
A gauche, il serait délicat de perdre une locomotive de l’envergure de Pierre-Yves Maillard pour le deuxième tour. Donc pour la gauche, l’idéal consisterait que Pierre-Yves Maillard se retrouve tout près de la majorité absolue, mais une élection au premier tour d’un élu de gauche serait une première au fort symbole.
A droite, c’est l’inconnue Jean-Claude Mermoud qui va peser. Que fera la droite si Jean-Claude Mermoud est élu au premier tour et que l’UDC devienne, par exemple, le premier parti de la droite au Grand Conseil ? La logique voudrait que l’UDC présente un nouveau candidat (désolé ce serait un mec) pour que son électorat se mobilise au deuxième tour. Si Jean-Claude Mermoud est élu, Pascal Broulis le sera également. Donc la droite partira avec un ticket à trois (UDC – PRD – Libéral). Mais les tensions seront fortes. Quid aussi si un-e des deux nouveaux candidat-e-s est décroché-e ? Le ticket initial à quatre pourrait se révéler au final une très mauvaise idée, paradoxalement avec deux élus au premier tour. Ce ticket à quatre n’est intéressant que s’il permet un tir groupé (en tête) des quatre candidat-e-s et qu’aucun d’eux (ou alors le seul Pascal Broulis) n’est élu au premier tour.

Retournons à gauche pour conclure. Quel ticket au deuxième tour ? Aurons-nous enfin une liste d’union? Je n’en suis pas du tout sûr. Mais pourquoi? Je pars des principes suivants :
– il n’y aura pas d’écart suffisamment significatif entre Joseph Zisyadis et Philippe Martinet;
– il n’y aura pas d’écart significatif entre les quatre candidat-e-s qui ne sont pas conseillers d’Etat actuellement;
– ou même un-e candidat-e de la droite figurera même après le dernier candidat de la gauche et des Verts;

Dès lors, ni les Verts, ni A gauche toute ! ne voudront lâcher. D’autant que le temps de la prise de décision sera trop court. Donc la gauche repartira avec deux listes. Cette situation, paradoxalement, n’est pas forcément catastrophique. Elle pourrait même déboucher sur un 3 – 2 – 2 pour la gauche et les Verts au Conseil d’Etat suivant les résultats de la droite au premier tour du Conseil d’Etat. Tout le monde sait que la dynamique mise en place au premier tour se confirme et se renforce au deuxième.
Et la suite se révélera compliquée avec un Grand Conseil à majorité de droite et des Verts qui se poseront en arbitres et en faiseur de majorité au coup par coup pour contrebalancer la trop forte majorité issue des urnes pour le Conseil d’Etat. Sans parler de la totale recomposition (ou décomposition, c’est selon) de la droite dans cette hypothèse.
D’une campagne terne pourraient sortir alors des résultats « explosifs ».

Mais bien évidemment, dimanche soir sera un autre soir. Nous aurons l’occasion d’en reparler. Sûr !

Classé sous :politis

mars 8, 2007 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Femmes et politique : que la route est longue!

En cette journée internationale des femmes, je vous renvoie à deux de mes billets consacrés aux femmes et à la politique. A mon avis, à la lumière des «débats» actuels autour des candidatures féminines dans des exécutifs —Ségolène Royal et Jacqueline de Quattro—, ces articles me paraissent toujours être d’actualité :

– Femme, gauche et politique
– Abstentionniste = femme confédérée et urbaine de 20-30 ans

Pour ne pas (trop) sombrer dans le désespoir, j’y ajoute
– Commander in chief : un modèle au féminin

J’y ajouterai quelques commentaires à la suite des propos récents d’Yvette Jaggi sur Jacqueline de Quattro.
Premièrement, je trouve que ceux-ci sont extrêmement dommageables. En effet, en tant que président de section, je rencontre beaucoup de difficulté à faire émerger les candidatures et vocations féminines, ne serait-ce qu’au conseil communal. De tels propos —ainsi qu’une telle manière d’envisager le débat politique— sont entièrement contre-productifs et sapent le travail entrepris pour rééquilibrer le rapport hommes/femmes dans les instances politiques.
En tant que socialiste, je le regrette d’autant plus qu’ils jettent tout un pan d’ombre sur le travail entrepris notamment lors de ces élections pour promouvoir des candidatures féminines sur nos listes. On en vient ainsi à oublier que les listes du parti socialiste sont celles qui comportent la proportion la plus forte de candidatures féminines et que celles-ci ne sont absolument pas des candidatures alibis pour faire juste «joli».
Deuxièmement, tout candidat-e mérite le respect relativement à sa personne, y compris les candidat-e-s aux exécutifs. Or, tel n’a pas été le cas en l’occurrence. Je n’adhère pas au programme politique de Jacqueline de Quattro, mais son parcours de femme mérite nettement mieux que la teneur des propos tenus par Yvette Jaggi. D’autant que son parcours est celui de beaucoup de femmes de gauche, de droite, du centre ou d’ailleurs. Une nouvelle fois, beaucoup peuvent se sentir blessées et connaître un sentiment de rejet à l’égard de la chose publique. Bel auto-goal !
Troisièmement, il est probable que l’objectif d’Yvette Jaggi consiste à l’obtention d’une majorité de gauche au Conseil d’Etat vaudois. Personnellement, cet objectif est également le mien. Mais pas de cette manière, car si cet objectif est atteint désormais en recalant Jacqueline de Quattro, celui-ci sera tâché et souillé par le procédé utilisé ici. Le doute existera toujours sur les éléments déterminants ayant permis une telle victoire et nos propres mérites passeront alors au second plan devant l’effet des petites phrases assassines prononcées. Ceci sans aucun bénéfice pour que la situation des femmes en politique en soit améliorée.
Quatrièmement, la situation de Jacquelin de Quattro trouve un écho dans celle que connaît Ségolène Royal. En effet, les mêmes types de critiques sont adressées relativement à ses compétences ou connaissances tel l’épisode des sous-marins nucléaires. Sur ce point, il n’y a pas de clivage gauche-droite.

Enfin, je reste persuadé qu’à l’instar des pays nordiques, les choses ne pourront évoluer qu’en empoignant la question de la nécessaire place des femmes en poltique au travers d’une politique des quotas. Ne serait-ce qu’au moyen d’une démarche limitée dans le temps.

Classé sous :politis

mars 7, 2007 by Lyonel Kaufmann 11 commentaires

Dominique Voynet à 60% !

Ainsi, à ma grande surprise, Dominique Voynet est la candidate qui correspond le mieux à mon profil au terme des 25 questions proposées par le site quelcandidat.com aux candidats à la présidentielle.
Bon juste derrière à 56%, je trouve Ségolène Royal, l’honneur est sauf, et Leila Bouachera dont le modèle politique est Mendès-France (bien!).
De toute manière, mon précepte que la femme est l’avenir de la politique se trouve confirmé. Tant mieux.
Encore mieux, Jean-Marie le Pen (12%) figure en toute queue de liste juste après Arlette Laguiller (20%) et Olivier Besancenot (24%). Ca tombe bien j’ai jamais été trop copain avec les trotkistes ! Puis cela tendrait à prouver que les extrêmes se rejoignent. Bon ça me fait quand même mal de penser que Jean-Marie Le Pen partage 12% des mêmes idées que moi ! brrrr…
Et vous ? Quel profil de candidat-e correspond le mieux au vôtre ? Dites-le ! Chiche…
PS : pas de faux espoir néanmoins, c’est pas pour autant que je voterai Philippe Martinet. Même en me bouchant le nez et en fermant les yeux. Deuxième tour compris.

Classé sous :politis

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 248
  • Page 249
  • Page 250
  • Page 251
  • Page 252
  • Pages provisoires omises …
  • Page 290
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Articles récents

  • IA : intelligence austéritaire | Dans les algorithmes
  • Partisanerie et polarisation sociale au Mexique | Le Devoir
  • “Séisme” aux Pays-Bas : l’extrême droite arrive en tête des législatives
  • ChatGPT: derrière l’exploit, des ouvriers du clic exposés à des récits de viol
  • Les rassemblements Trump sont aussi des bulles
  • Le bannissement de Trump sur Twitter montre où se trouve le pouvoir maintenant – The New York Times
  • Les tweets de Trump n’ont jamais été que des tweets
  • Mauro Poggia: «Comment Pierre Maudet pouvait-il continuer à diriger des gens qui disent avoir peur de lui?» – L’Affranchi
  • Les premières nominations de Biden promettent une administration à l’opposé de celle de Trump
  • Donald Trump ou la haine des classes moyennes

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

Crédit image (fond)

Image parEak K. de Pixabay

Copyright © 2025 · Kickstart Pro on Genesis Framework · WordPress · Se connecter