
Russie : la prison de glace | Amnesty International

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*
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“What counts in life is not the mere fact that we have lived. It is what difference we have made to the lives of others that will determine the significance of the life we lead.” — Nelson Mandela
Source de la citation : http://archives.nelsonmandela.org
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Avant, les choses étaient simples. Il y avait d’un côté les amoureux d’Internet qui refusaient qu’on touche à cet espace de liberté et de l’autre ceux qui considéraient que c’était la pire invention de l’histoire de l’humanité. Mais désormais, ceux-là même qui défendaient le Net emploient des mots comme «danger» ou «dérive».
Ainsi de Lawrence Lessig, co-fondateur de Creative Commons, qui a déclaré le week-end dernier: «Je suis pas sûr qu’Internet soit bon à moyen terme». Ces anciens partisans seraient-ils devenus de gros méchants réactionnaires qui veulent brûler ce qu’ils avaient adoré?
En réalité, ce ne sont pas les défenseurs du Net qui ont changé de camp, mais Internet lui-même. En quelques années, il a connu une métamorphose qui, à titre personnel, me laisse encore ébahie. Internet est devenu exactement l’inverse de ce qu’il était. D’un réseau ouvert, il est devenu un réseau fermé. D’un espace de liberté, il est devenu un espace de surveillance.
Lire la suite : Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste | Slate.fr.
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Qu’est-ce qui fait la spécificité de la Suisse et des Suisses? Pourquoi Guillaume Tell est-il le symbole de notre indépendance? Dans le cadre du mois suisse de la SSR, la RTS proposait le 6 novembre une soirée spéciale autour de notre identité nationale. Après la diffusion dès 20h15 du premier épisode de la série Les Suisses intitulé «Nos ancêtres les Schwytzois», Infrarouge ouvrait le débat vers 21h00. Avec cette question : quelle est la place des mythes dans notre histoire et comment la raconter? Le Débat :
Les participants :
Irène Herrmann, professeur associée en Histoire suisse, Université de Genève
Dominique Dirlewanger, historien, professeur au gymnase Provence, Vaud
Laurent Flutsch, archéologue et humoriste, directeur du Musée romain de Vidy, rédacteur en chef adjoint de Vigousse, hebdomadaire satirique
Maria Bernasconi, conseillère nationale PS/GE, ancienne co-présidente des femmes socialistes suisses
Hans Fehr, conseiller national UDC, Zurich, membre de l’ASIN, Association pour une Suisse indépendante et neutre
Jean-Luc Bideau, comédien, narrateur de la série « Les Suisses »
Eric Burnand, producteur RTS, responsable de la version francophone de « Les Suisses »
Dominique Othenin-Girard, réalisateur de la série « Les Suisses »
Site de la série « Les Suisses »
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«sa victoire pourrait marquer le début de la fin d’une ère de plus de trente ans au cours de laquelle la bipolarisation de la vie politique américaine se jouait entre la droite du Parti républicain (fidèle à Ronald Reagan) et la droite du Parti démocrate (inspirée par Bill Clinton).»
Par ailleurs, la vie politique américaine est capable de grands mouvements de balancier, qui correspondent à des renouvellements de générations mais aussi à des crises et ce serait le deuxième enseignement de cette élection :
«la crise de 29 a débouché sur Roosevelt et son New Deal ; le choc pétrolier, sur Reagan et son néolibéralisme. Il ne faut pas exclure que la crise des subprimes ait un impact profond sur la vie politique.»
Enfin, cette victoire est peut-être et surtout le signe que le mouvement du Tea Party n’est qu’un feu de paille (et surtout une poutre dans l’oeil des Républicains) :
«On aurait pu penser que le bouleversement viendrait de la droite, mais non. Le Tea Party n’aura peut-être été qu’un feu de paille. Les déconvenues électorales récentes des Républicains soutenus par ce mouvement semblent en tout cas indiquer que ce n’était pas la lame de fond que l’on pouvait craindre.»
On ne va pas s’en plaindre…
L’analyse de Pascal Riché : Bill de Blasio ou le réveil de la gauche aux Etats-Unis | Rue89.