Lu hier dans LibéOrléans:
À Orléans, le Front national recrute ses candidats dans les bistrots
Jean-Marie Le Pen l’avait promis la main sur le cœur : « Pour les municipales, le Front national présentera une liste dans deux cents grandes villes françaises ». Orléans comprise. Seul hic, le parti d’extrême droite, qui revendique huit cents adhérents sur le Loiret dont un gros quart sur Orléans, peine à boucler la sienne. Sur les cinquante-cinq noms exigés pour le dépôt de candidature, le FN n’en aurait réuni qu’une quarantaine. Alors, les cadres du parti n’hésitent pas à recruter dans la rue et jusqu’au fond des troquets.
Cette manière de procéder me rappelle furieusement les démarches de l’UDC boélande pour établir sa liste aux communales de mars 2006 et pour trouver son candidat à la Muncipalité. Ce dernier s’est depuis tellement bien profilé: »(Leur slogan était « Le municipal qui se profile ») »: qu’il a été exclu du groupe à fin 2007. C’est d’ailleurs une constante de l’UDC boélande: ne jamais finir une législature sans clash, ni scission. Comme les trotsks!
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