• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale

politis.ch

Regard sur la politique par Lyonel Kaufmann, socialiste boéland*

  • accueil
  • vocabulaire
  • Charte
  • qui suis-je

avril 14, 2007 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Etre en campagne (Jean-Luc Mélanchon)

A méditer…

Etre en campagne ce n’est que cela : se rendre utile à la cause que l’on soutient. Parfois malgré les siens.

Jean-Luc Mélanchon «Malgré les siens» – 14.04.2007

Partagez du contenu:

  • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
  • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
  • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
  • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr
  • Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pocket

Classé sous :politis

Previous Post
Next Post

Interactions du lecteur

Commentaires

  1. Leenknegt dit

    octobre 3, 2007 à 10:02 pm

    Mon cher Camarade,
    Probablement en dehors du sujet. Des « camarades du PS ont déserté, que dis-je, ont rallié comme en 40 les les fossoyeurs de la France, quelle est la responsabilité du PS pour abriter de tels individus? que faire pour retrouver une identité populaire? Nous ne croirons plus jamais au PS, à la politique, tant qu’on aura pas nettoyé le pays de ces arrivistes.
    Ces gens là ne sont pas la France pas plus que le Nabot et ses sbires.
    Nous souhaitons nettoyer le pays de ces abrutis.

    Répondre
  2. Lyonel Kaufmann dit

    octobre 4, 2007 à 6:34 am

    J’entends beaucoup de rage, de dépit dans tes propos à l’égard des dirigeants socialistes français. Certains positionnements des dirigeants socialistes français, vus de l’extérieur, m’ont également surpris tant pendant la présidentielle que depuis.
    Mais, dans tous les pays, la question du lien entre la base et ses dirigeants est une question sensible, plus particulièrement pour les partis de gauche. Certainement que le pouvoir tend à corrompre… D’autant plus que le culte ou la fascination du leader existe également au sein de la gauche.
    Si des arrivistes prennent les commandes, c’est aussi qu’on les y a laissés, que le débat démocratique interne s’est assoupi, relâché, que la perspective de la «victoire» rend borgne, voire aveugle à tous les étages.
    Cependant, je me dois de dire que Jean-Luc Mélanchon ne me paraît pas appartenir à cette catégorie-là…

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Barre latérale principale

Articles récents

  • IA : intelligence austéritaire | Dans les algorithmes
  • Partisanerie et polarisation sociale au Mexique | Le Devoir
  • “Séisme” aux Pays-Bas : l’extrême droite arrive en tête des législatives
  • ChatGPT: derrière l’exploit, des ouvriers du clic exposés à des récits de viol
  • Les rassemblements Trump sont aussi des bulles
  • Le bannissement de Trump sur Twitter montre où se trouve le pouvoir maintenant – The New York Times
  • Les tweets de Trump n’ont jamais été que des tweets
  • Mauro Poggia: «Comment Pierre Maudet pouvait-il continuer à diriger des gens qui disent avoir peur de lui?» – L’Affranchi
  • Les premières nominations de Biden promettent une administration à l’opposé de celle de Trump
  • Donald Trump ou la haine des classes moyennes

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

*boéland : surnom donné aux habitants de La Tour-de-Peilz

Crédit image (fond)

Image parEak K. de Pixabay

Copyright © 2025 · Kickstart Pro on Genesis Framework · WordPress · Se connecter